Lundi prochain sera le fameux lundi de Pentecôte, autrefois férié. Désormais il est officiellement travaillé mais en pratique chaque entreprise peut s'arranger. Dans les unes on demande aux employés de travailler gratuitement, d'autres leur demandent de donner un jour de congé, d'autres encore préfèrent payer plutôt que de priver leurs employés d'une journée de salaire...
Mais dans mon entourage je constate que chacun s'arrange de tout ça et parmi les employés d'entreprises a priori solidaires on en trouve pas mal qui posent ce jour là.
Moi je préfère travailler puisque je n'ai pas mon chéri près de moi pour passer une journée chômée à 2, et puis de toute façon tout sera majoritairement fermé alors une journée de repos oui mais bon...
D'un autre côté, les "vieux" que je connais me disent qu'ils s'en fichent qu'on leur donne un jour parce qu'ils ne voient pas la différence. Depuis cette loi ils ne vivent pas mieux.
Qu'en pensez-vous ? Vous allez travailler vous ? Vous avez eu le choix ?
vendredi 25 mai 2007
mercredi 23 mai 2007
En cours de lecture
mardi 22 mai 2007
Coin lecture

Les livres se suivent et ne se ressemblent pas.
Si j'avais lu Je l'aimais d'Anna Gavalda en premier je n'aurais surement pas lu le précédent.
Je vous colle quand même le descriptif de l'éditeur, mais je crois que j'aurais pu m'abstenir. Je ne dis pas que c'est un mauvais livre ou que ça n'a rien de littéraire, mais à moi il ne m'a plu plus que ça. Il faut dire qu'avec les 12 nouvelles la barre était haute. Je ne fléchis pas et je lirai quand même le 3è, plus gros, plus connu : Ensemble c'est tout.
"On biaise, on s'arrange, on a notre petite lâcheté dans les pattes comme un animal familier. On la caresse, on la dresse, on s'y attache. C'est la vie. Il y a les courageux et puis ceux qui s'accommodent. C'est tellement moins fatigant de s'accommoder..." A-t-on le droit de tout quitter, femme et enfants, simplement parce que l'on se rend compte - un peu tard - que l'on s'est peut-être trompé ? Adrien est parti. Chloé et leurs deux filles sont sous le choc. Le père d'Adrien apporte à la jeune femme son réconfort. À sa manière : plutôt que d'accabler son fils, il semble lui porter une certaine admiration. Son geste est égoïste, certes, mais courageux. Lui n'en a pas été capable. Tout au long d'une émouvante confidence, il raconte à sa belle-fille comment, jadis, en voulant lâchement préserver sa vie, il a tout gâché.
dimanche 20 mai 2007
Demandez le journal !

En attendant que je le scanne ou le photographie, voici le texte de l'article qui m'est consacré, paru dans le Parisien et Aujourd'hui en France, hier, à l'occasion du 19è Congrès de Généalogie qui a eu lieu tout le week-end à Tours.

"J'ai découvert que j'étais parente avec Raffarin"
Laetitia, 26 ans, pianote à la recherche de ses ascendants
C'est à la mort de son grand-père paternel, il y a onze ans, que Laetitia Brunet, 26 ans, a comencé à s'intéresser à la généalogie. "J'ai posé des questions à ma grand-mère, à mes cousins. Et puis en écoutant les témoignages des uns et des autres, je me suis piquée au jeu. J'ai rassemblé les papiers de famille, les menus de mariage, les actes d'état-civil...", se souvient la jeune femme qui vient de se marier. Née à Saint-Benoit-la-Forêt (Indre-et-Loire), elle a commencé à recueillir précieusement les actes d'état-civil du côté de Châtellerault (Vienne).
"Je suis remontée jusqu'à la quinzième génération"
"Comme j'étais étudiante, je n'avais pas les moyens d'aller de mairie en mairie, ce qui prend énormément de temps. En me permettant d'entrer en contact avec ma famille élargie, en me donnant accès aux arbres généalogiques des uns et des autres, Internet m'a beaucoup aidée", explique Laetitia, qui a aussi beaucoup écumé le site Internet du conseil général de la Vienne (archives-vienne.cg86).
Des heures de recherche couronnées de succès : "Je suis remontée jusqu'à la quinzième génération avec un ancêtre né avant 1600 qui s'appelait François Giroire que j'ai retrouvé cette semaine", jubile la jeune femme qui s'amuse des formules naguère empoyées, par exemple pour porter sur les registres la naissance d'un enfant :"A comparu par-devant nous, officier d'état-civil, M. X..."
Non contente d'avoir reconstitué un arbre généalogique sur quatre siècles, Laetitia, qui travaille comme assistante à Paris, a fait une trouvaille dont elle n'est pas peu fière sur le site geneastar.org, spécialisé sur les ancêtres des célébrités : "En tapant le nom de famille de mon père (Dadu), j'ai découvert que j'ai des ascendants communs avec Jean-Pierre Raffarin puisque sa grand-mère paternelle, prénommée Emilienne, s'appelait aussi Dadu ! "
dimanche 13 mai 2007
Coin lecture

Ce n'est pas roman, mais des nouvelles.
Je vous propose le descriptif de la 4è de couverture :
«Quand j'arrive à la gare de l'Est, j'espère toujours secrètement qu'il y aura quelqu'un pour m'attendre. C'est con. J'ai beau savoir que ma mère est encore au boulot à cette heure-là et que Marc n'est pas du genre à traverser la banlieue pour porter mon sac, j'ai toujours cet espoir débile.» Les personnages de ces douze nouvelles sont pleins d'espoirs futiles, ou de désespoir grave. Ils ne cherchent pas à changer le monde. Quoi qu'il leur arrive, ils n'ont rien à prouver. Ils ne sont pas héroïques. Simplement humains. On les croise tous les jours sans leur prêter attention, sans se rendre compte de la charge d'émotion qu'ils transportent et que révèle tout à coup la plume si juste d'Anna Gavalda. En pointant sur eux ce projecteur, elle éclaire par ricochet nos propres existences.
J'ai tellement aimé que mon livre est déjà parti pour Bangkok ce jour ! Ben oui, je lis, j'aime et j'offre ! Les livres ne sont pas destinés à s'enpoussiérer sur une étagère !
mardi 8 mai 2007
Les nouvelles du warrior

aux questions,
Aurélien est
bien arrivé,
il prend ses
marques,
il a plus de
boulot qu'il
n'aurait cru,
il a un poste
pour lequel
il n'a pas été
préparé, c'est
un peu dur,
mais il ne
s'ennuie pas ! Il est basé entre Mitrovica et Pristina. Pour ceux qui veulent il reçoit les sms (il allume son mobile le soir) et les mails.
Merci pour votre soutien.
------
Ajout du dimanche 13 mai
Aurélien a passé une première semaine assez pénible. Beaucoup de nouveautés (forcément !) à intégrer, et un nouvel environnement à assumer. Aujourd'hui il a enfin une journée de repos. Cette semaine lui a semblé interminable !
lundi 7 mai 2007
O ma Touraine !
Pour ceux qui me connaissent ça n'a rien de surprenant : j'aime ma terre natale !
A l'occasion de mon mariage je suis retourné la voir, l'admirer, la respirer et m'y ressourcer. Alors je vous offre quelques images de Tours et de Chinon pour que puissiez la rencontrer ou la retrouver.
A l'occasion de mon mariage je suis retourné la voir, l'admirer, la respirer et m'y ressourcer. Alors je vous offre quelques images de Tours et de Chinon pour que puissiez la rencontrer ou la retrouver.
dimanche 6 mai 2007
Suresnes
Comme vous l'avez su, j'ai déménagé récemment. J'habite désormais à Suresnes, dans le département des Hauts-de-Seine, Région Ile de France.
"Nul ne sort de Suresnes qui souvent n'y revienne"
Cette ville est riche en visages ! Un village, une ville de proche banlieue parisienne, une vigne, un tramway, de la verdure, des marchés de proximité, et des côtes ! Les visages sont de toutes les couleurs, les sourires de toutes les cultures, et le climat y est plutôt bon (remarquez en 2 mois de printemps... c'est normal).
Le site officiel donne envie d'y habiter, ça tombe bien !
"Nul ne sort de Suresnes qui souvent n'y revienne"
Cette ville est riche en visages ! Un village, une ville de proche banlieue parisienne, une vigne, un tramway, de la verdure, des marchés de proximité, et des côtes ! Les visages sont de toutes les couleurs, les sourires de toutes les cultures, et le climat y est plutôt bon (remarquez en 2 mois de printemps... c'est normal).
Le site officiel donne envie d'y habiter, ça tombe bien !
Grand Corps Malade

Connaissez-vous Grand Corps Malade ?
Auteur de textes aussi surprenants que bouleversants, Grand Corps Malade, alias Fabien, 30 ans cette année, me trouble par le choix de ses mots. La musique n'est là que pour la mise en valeur, mais les textes se suffisent à eux-mêmes. Sa voix, des plus graves, ne peut pas laisser stoïque.
Je vous ai copié ici un de ses textes, sûrement le plus entendu : Les Voyages en train, de son album Midi 20
J'crois qu'les histoires d'amour c'est comme les voyages en train,
Et quand j'vois tous ces voyageurs parfois j'aimerais en être un,
Pourquoi tu crois que tant de gens attendent sur le quai de la gare ?
Pourquoi tu crois qu'on flippe autant d'arriver en retard ?
Les trains démarrent souvent au moment où l'on s'y attend le moins,
Et l'histoire d'amour t'emporte sous l'oeil impuissant des témoins,
Les témoins c'est tes potes qui te disent au revoir sur le quai,
Ils regardent le train s'éloigner avec un sourire inquiet,
Toi aussi tu leur fais signe et t'imagines leurs commentaires,
Certains pensent que tu t'plantes et qu't'as pas les pieds sur terre,
Chacun y va d'son pronostic sur la durée du voyage,
Pour la plupart le train va dérailler dès l'premier orage.
Le grand amour change forcément ton comportement,
Dès l'premier jour faut bien choisir ton compartiment,
Siège couloir ou contre la vitre il faut trouver la bonne place,
Tu choisis quoi une love story de première ou d'seconde classe ?
Dans les premiers kilomètres tu n'as d'yeux que pour son visage,
Tu calcules pas derrière la fenêtre le défilé des paysages,
Tu te sens vivant tu te sens léger tu ne vois pas passer l'heure,
T'es tellement bien que t'as presque envie d'embrasser le contrôleur.
Mais la magie ne dure qu'un temps et ton histoire bat de l'aile,
Toi tu te dis que tu n'y es pour rien et que c'est sa faute à elle,
Le ronronnement du train te saoule et chaque virage t'écoeure,
Faut que tu te lèves que tu marches tu vas te dégourdir le coeur.
Et le train ralentit, c'est déjà la fin de ton histoire,
En plus t'es comme un con tes potes sont restés à l'autre gare,
Tu dis au revoir à celle que t'appelleras désormais ton ex,
Dans son agenda sur ton nom elle va passer un coup de tipex.
C'est vrai que les histoires d'amour c'est comme les voyages en train,
Et quand je vois tous ces voyageurs parfois j'aimerais en être un,
Pourquoi tu crois que tant de gens attendent sur le quai de la gare ?
Pourquoi tu crois qu'on flippe autant d'arriver en retard ?
Pour beaucoup la vie se résume à essayer de monter dans le train,
A connaître ce qu'est l'amour et se découvrir plein d'entrain,
Pour beaucoup l'objectif est d'arriver à la bonne heure,
Pour réussir son voyage et avoir accès au bonheur.
Il est facile de prendre un train encore faut-il prendre le bon,
Moi je suis monté dans deux trois rames mais c'était pas le bon wagon,
Car les trains sont capricieux et certains sont inaccessibles,
Et je ne crois pas tout le temps qu'avec la SNCF c'est possible.
Il y a ceux pour qui les trains sont toujours en grève,
Et leurs histoires d'amour n'existent que dans leurs rêves,
Et y a ceux qui foncent dans le premier train sans faire attention,
Mais forcément ils descendront déçus à la prochaine station,
Y a celles qui flippent de s'engager parce qu'elles sont trop émotives,
Pour elles c'est trop risqué de s'accrocher à la locomotive,
Et y a les aventuriers qu'enchaînent voyage sur voyage,
Dès qu'une histoire est terminée ils attaquent une autre page.
Moi après mon seul vrai voyage j'ai souffert pendant des mois,
On s'est quitté d'un commun accord mais elle était plus d'accord que moi,
Depuis je traîne sur le quai je regarde les trains au départ,
Y a des portes qui s'ouvrent mais dans une gare je me sens à part.
Il paraît que les voyages en train finissent mal en général,
Si pour toi c'est le cas accroche-toi et garde le moral,
Car une chose est certaine y aura toujours un terminus,
Maintenant tu es prévenu la prochaine fois tu prendras le bus.
samedi 5 mai 2007
Célibataire pour une saison
A compter de ce matin, je suis "célibataire géographique". Mon mari tout neuf de samedi dernier vient de partir pour quelques mois à l'étranger, pour des raisons professionnelles. C'est plaisant. Je suis donc livrée à moi même pour quelques semaines, une 20aine tout au plus, comme si je ne l'avais jamais rencontré. Pire ! Je viens de l'épouser ! Et le voilà parti, à regrets. Le pauvre est aussi ravi que moi.
Alors si vous me croisez, ne vous apitoyez pas sur notre sort, nous sommes parfaitement heureux et nous subissons la parenthèse, mais notre petit nuage bi-place n'en finit plus de flotter au 7è ciel. Notre force est notre couple. Je vous demande de ne pas nous plaindre, de ne pas nous dire combien vous trouvez ça dur... On le sait puisqu'on le vit ! Alors distrayez nous plutôt que de nous accabler.
Merci d'être là.
Alors si vous me croisez, ne vous apitoyez pas sur notre sort, nous sommes parfaitement heureux et nous subissons la parenthèse, mais notre petit nuage bi-place n'en finit plus de flotter au 7è ciel. Notre force est notre couple. Je vous demande de ne pas nous plaindre, de ne pas nous dire combien vous trouvez ça dur... On le sait puisqu'on le vit ! Alors distrayez nous plutôt que de nous accabler.
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