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lundi 21 juillet 2014

Le choc des civilisations ?

Voilà, nous avons reçu nos cartons tout neufs. Nous en avons déjà remplis un bon tiers. Nous serons en congés dans deux semaines et nous déménagerons dans trois. Nous avons déjà fait quelques allers-retours entre la région parisienne et notre nouvelle région d'adoption : la Lorraine. On n'y connait rien ni personne. Comme je vous le disais février, nous avons deux emplois assurés. Nous y avons trouvé un home sweet home, une école, une nounou, et puis nous avons tout à y créer : des connaissances, des repères, des habitudes...
Nous avons déjà perçu deux choses qui vont bien nous changer la vie : les transports et les prix. Les premiers nous sont familiers actuellement puisque nous prenons le tramway et le bus quotidiennement. Cela nous prend environ 2h20 chacun. Dans notre nouvelle vie, nous allons effectuer le trajet domicile-travail en voiture et/ou moto. De ce que nous avons pu tester, cela nous prendra environ 35 mn par jour... et probablement ensemble ! Nous gagnerons donc 1h45 de temps de vie tous les jours soit 8h45 par semaine ! On ne réalise pas encore... 
Pour ce qui est des prix, on n'a pas eu beaucoup l'occasion de comparer pour le moment. On a juste pu constater que l'immobilier est bien plus abordable à Metz qu'à Paris, puisque c'est du simple au triple. Et pour un permis-moto, il faudrait débourser environ 1000 € à Suresnes et environ 650 € à Metz (formation + examen code / plateau / circulation).
Si ça continue comme ça, on va gagner du temps et de l'argent !

dimanche 13 avril 2014

Ménage de printemps

La famille s'apprête à faire ses cartons et à migrer. Evidemment, l'idée m'est venue de faire un nouveau blog, mais non, je vais juste faire le ménage sur celui-ci, quelques cartons, archiver des pages et des pages et puis changer de sujets, en tout cas j'epère. Ciao les problèmes de voisinage ! Ciao les problèmes liés aux transports ! Ciao les célébrités croisées dans mon quotidien ! 

J'ai supprimé un quart des messages. Ce blog n'est pas né d'hier (décembre 2006, déjà 7,5 ans !). L'avenir dira s'il est près ou loin de la fin ;-)

A bientôt !

samedi 17 août 2013

Quand la santé va, tout va !

Dans la série "je les cumule", j'ai reçu deux courriers de ma mutuelle. 
Avant de vous en parler, je résume les épisodes précédents. 
Au début de l'année, j'ai changé d'employeur. J'ai quitté une société du privé. J'étais alors salariée et je dépendais du régime général de la sécurité sociale. J'étais rattachée à la CPAM 92. Depuis le 1er janvier, j'ai intégré la fonction publique. Je dépends maintenant d'une union de mutuelles délégataires du service d'Assurance maladie. Je suis rattachée à un guichet régional de cette caisse. Par ailleurs, mon précédent employeur m'avait fait quitter ma mutuelle il y a quelques années. J'ai donc repris au 1er janvier un contrat avec ma mutuelle, qui n'a rien à voir avec la fonction publique. 
Il y a quelques semaines, j'ai épluché mes comptes bancaires et me suis rendu compte que je n'étais pas remboursée de mes frais de santé par ma mutuelle. Renseignements pris, il s'agit d'une conséquence au fait que ma nouvelle assurance maladie ne semble pas transmettre les actes à rembourser à ma mutuelle. La mutuelle m'a donc indiqué que toute feuille de soin et tout relevé sécu non transmis à la mutuelle doivent être envoyés par moi, au service de remboursement de ma mutuelle. 
Avant de partir en vacances, j'ai donc regroupé dans une grande enveloppe la copie des relevés reçus depuis le 1er janvier de la part de ma sécu, et toutes les feuilles de soins, ainsi que les factures de la pharmacie quand j'ai dû avancer des frais. 

Je vous disais donc que j'ai reçu deux courriers de ma mutuelle à mon retour de vacances. 
Le premier contient mes originaux (feuilles de soin, facture de la pharmacie...) et le second contient les copies des relevés de la sécu. Le premier contient un courrier m'indiquant que je dois renvoyer la liasse de documents directement à ma sécu, qui remboursera sa part. Le second contient un courrier m'indiquant que la mutuelle ne travaille que sur des originaux, donc je dois lui renvoyer les bons documents. 
Evidemment, ces démarches vous semblent sans doute évidentes. Seulement je suis tombée des nues en lisant ces deux courriers, car j'avais pris conseil auprès de ma mutuelle, qui m'a donc mal renseignée.

vendredi 2 août 2013

Volet réparé !

Vous, je sais pas. Mais moi, je n'ai pas de chance en général avec les procédures, les administrations et autres interactions humaines qui devraient bien se passer. Pourtant je ne cherche pas à compliquer les choses. Mais quand je raconte ce qui m'arrive, de plus en plus on me dit "alors toi, tu les attires ! Tu devrais écrire un livre !". Un livre, je ne sais pas, mais je peux bien écrire sur un blog :-)
Après des mois de broutilles administratives dans mon nouveau boulot, j'ai découvert un soucis purement administratif du côté de ma caisse de sécurité sociale, et puis j'ai eu un problème avec mon, four tout neuf qui ne faisait plus de chaud... A chaque fois des problèmes anodins, sans importance, mais qui enquiquinent quelques temps quand même ! Ah et j'oubliais, la livraison prévue entre 13 et 16h et qui est arrivée à 19h. Trois fois rien je vous dis, mais en attendant, c'est toujours à moi que ça arrive.

La dernière en date concerne le volet roulant de mon salon. Fin juin, je lève mon volet pour y voir plus clair et la sangle lâche. Le volet tombe et l'enrouleur entraîne le bout de sangle. Heureusement qu'il y a une 2è fenêtre sinon je serais dans le noir. 
Aussitôt, je file signaler le problème au gardien, qui le signale au service technique, mais me prévient que le directeur technique part en congés le lendemain.
Après 3 semaines sans nouvelles, je retourne voir le gardien qui me dit que le directeur technique est rentré de congés, mais qu'il avait donné suite à mon signalement avant de partir. Il me donne son numéro pour passer en direct.
J'appelle le directeur technique la semaine dernière, qui me dit qu'il relance l'entreprise qui aurait dû passer plus tôt, mais qui n'est pas une rapide... Et qui sera en congés le 2/08 au soir pour un mois. . . Eh oui, le mois d'août en région parisienne, tout s'arrête.
Dans l'heure ladite entreprise me rappelle pour convenir d'un rendez-vous, ce sera pour le 2/8 au matin. 



Ce matin, un technicien vient. Il me dit qu'il va changer la sangle. En 5 mn c'est fait. Je retrouve la vue. Mais il me dit qu'il a un volet à changer. Lequel ? Il mesure toutes mes fenêtres et déduit que ce sera le volet de la chambre des enfants. Bon. C'est vrai que ce volet a un soucis, mais de là à le changer... Quand vous levez le volet, en tirant sur la sangle, le volet reste en haut. Même si vous souhaitez le fermer. Donc vous devez ouvrir la fenêtre et tirer sur le volet... La solution adoptée est de ne pas ouvrir le volet à fond.
Il change le volet, le problème persiste. Il graisse le système, vérifie la sangle, tout est correct, mais le problème persiste. Il ne peut rien faire. Bon...
Et je lui demande de vérifier toutes les sangles au cas où, pour ne pas devoir les rappeler dans 8 jours (elles sont toutes usées et vont bientôt lâcher). Il ne peut rien faire, il n'a pas eu de bon d'intervention.... Il part.

Je rappelle le directeur technique pour rendre compte. Il m'en remercie car le volet neuf est facturé 700 € aux HLM, alors s'il n'avait pas à être changé... et comme le problème persiste, hors de question de payer. Il demande à l'entreprise de revenir.
40mn plus tard, un autre technicien vient, regarde le volet neuf, et me dit que la seule solution est de lester le volet, trop léger pour descendre quand on le ferme... (je ne suis pas de la partie, mais je suis interloquée) ou de passer au système à manivelle, mais que pour le moment il laisse comme ça, car il n'a pas de bon d'intervention. On a gagné un volet neuf (et tout propre !).
Le directeur technique a demandé par ailleurs le changement de toutes les sangles... mais ce sera pour septembre maintenant.

Synthèse : la sangle lâche, on met 6 semaines à intervenir pour 5 mn sur place. Et puis on bidouille autre chose pour justifier le déplacement (et facturer 700€ au passage, c'est toujours ça de pris).

mercredi 17 juillet 2013

Résurrection

Amis lecteurs, ou amis tout court, je ne vous délaisse pas. En tout cas, je pense à vous. Ce blog a subi sa deuxième gifle et je suis bien négligente avec lui... mais j'ai de bonnes excuses ! Pourtant, vous continuez à lui rendre visite. Je vois que mes pages à connotation culturelle ont toujours du succès, que vous soyez de passage ou de "vieux" habitués, je vous remercie de cliquer par-ci par-là, même si je n'en dis rien, cela me fait plaisir. Ces pages n'ont pas été faites pour rester oubliées.

Pour être synthétique, j'ai peu chômé ces derniers mois. Au tableau des choses faites, il y a eu principalement un déménagement, une grossesse suivie d'une naissance, une démission et l'entrée dans une administration, la cessation de mes voyages en métro et puis l'installation après le déménagement, mais ça... ça dure encore.
Me voici donc de nouveau assignée aux bons soins d'un nourrisson comme en 2010. Ma vie est bien occupée, et je prends moins de temps à écrire dans mes différents blogs. Pourtant (dans le désordre) les déboires administratifs continuent à bien m'occuper (la veinarde cumularde !), j'ai toujours un avis sur mes lectures et découvertes sériesques, je déplore toujours le décès de personnes illustres, j'ai de nouveaux voisins et je formule de nouvelles plaintes à leur encontre, je continue à lire des blogs et autres sites persos, je pourrais vous en faire profiter, j'ai dû changer d'agrégateur d'ailleurs, et j'aurais pu en parler ici, j'ai fait un marathon bloguesque sur un autre blog (il fallait publier un billet par jour pendant tout le mois d'avril, sauf le dimanche, et j'ai survécu), je chante toujours, bien que la saison soit terminée, je suis toujours une e-consommatrice, bref, je continue à vivre.
Ma vie sur le net continue aussi, surtout sur mes blogs dédiés, l'un à ma vie de famille, les autres à mes recherches généalogiques. Il y en a aussi en collaboration, consacrés à diverses connaissances et à la cuisine. Ils sont également mis en pause relative, comme ils sont intemporels ça n'est pas gênant ! Dans un cas comme dans l'autre vous trouverez de quoi vous nourrir... Mais il va y en avoir un de plus (j'ai pas dit que je m'ennuyais, je dis juste que je suis bien occupée !) consacré aux travaux manuels. Seulement, la co-auteure aussi vient d'accoucher, donc il faut patienter avant que nous prenions notre rythme de croisière. Je ne manquerai pas de venir vous le vendre ici ;-)

mardi 21 août 2012

dimanche 29 avril 2012

Formulaire n°14069

C'est la référence du document CERFA par lequel tout commence quand on sollicite l'accès à un logement social. Je vous raconte ?
Avant de vous remettre les clefs d'un logement social, on vous met à l'épreuve. Tout d'abord on vous demande de remplir un joli formulaire de 4 pages pour connaître la situation actuelle des demandeurs, du point de vue du logement, des ressources, de la composition de la famille, et puis pour connaître les souhaits en matière de futur logement.
Depuis le printemps 2004, l'administration a révolutionné le système, à l'initiative de Benoist Apparu, secrétaire d’Etat chargé du Logement (UMP). On vous permet de faire une demande à n'importe quel bailleur social (HLM, commune, etc.) de votre département, qui vous remet un Numéro Unique. Ce graal sert ensuite à toute les structures concernées. Youhou !
C'est-y pas merveilleux ? L'informatique au service de la communauté des demandeurs et du temps (et du papier) économisé du côté des bailleurs. For-mi-da-ble !

Nous avons fait une demande de logement social. On nous a prévenus que le délai de patience est de 4 ans en moyenne... Bon, on a un toit sur la tête, on n'est pas dans l'urgence. On aimerait juste pouvoir avoir une chambre de plus. Une pour Minette, et une pour ses parents. Pas très original en réalité.
Nous avons donc fourni les pièces justifiant de notre situation familiale, de notre logement actuel, de notre nationalité, de nos revenus, accompagnées du fameux formulaire dûment rempli.
En attendant de recevoir notre Numéro Unique nous avons appris que dans notre commune, une partie du parc HLM est proposé à la vente à des prix dérisoires. Il faut que je vous parle de ça aussi... Bon, on fera un autre  billet ultérieur.
Le N° unique est arrivé, délivré avec la liste de tous les bailleurs sociaux locaux. Euh.... on fait quoi avec ça ? Aucune notice, aucune piste... Nous savons juste que le n° n'est valable qu'un an. Il faut donc renouveler la demande avant la fin de ce délai.


Après un temps de patience, nous avons contacté Monsieur Logement de notre ville. Son secrétariat nous a demandé si nous avions déposé un dossier papier. Oui, nous avons un Numéro Unique ! (Multipass !) Ah mais oui, mais votre dossier, il est déposé où ? Auprès de l'Office HLM. Donc vous devez d'abord refaire un dossier, puis nous le transmettre, attendre 1 à 2 semaines, et nous rappeler.... Grrrr !

Rebelotte. On redonne nos 3 derniers bulletins de salaires, notre bail actuel, la copie du livret de famille, la dernière radio panoramique des dents, et la date de la fête de Pâques 2018... ah non, pardon, je m'égare, mais c'est presque ça !

Soit dit en passant, nos pièces sont très confidentielles et nous ignorons ce qu'il en est fait... A l'heure où on fustige Internet de peur d'une usurpation d'identité, il faudrait peut-être s'inquiéter du devenir de tous ces documents fournis à tant d'administration, non ?

Ensuite on patiente puis on rappelle. Mais Monsieur Logement est en congés. Donc on remet l'entretien tel à plus tard.

Enfin, on arrive à joindre Monsieur Logement qui nous explique ce que nous n'avons pas compris...
Le Numéro Unique est une farce. Certes nous avons une référence qui signifie à tous les bailleurs sociaux d'Ile de France que nous avons déjà fait une demande. Mais pour que notre dossier soit lu par un bailleur, il faut le constituer et le lui déposer (!!), et monter autant de dossiers que de bailleurs à contacter. Par exemple, la ville de Suresnes a actuellement 2000 dossiers à gérer. C'est le nombre de demandeurs habitant déjà Suresnes. Sinon, il y a 5000 dossiers de personnes n'habitant pas Suresnes, mais qui souhaitent s'y installer. A ces 7000 dossiers, il faut ajouter ceux des personnes qui pensent avoir fait une demande de logement à Suresnes parce qu'elles ont déposé leur dossier ailleurs, en précisant Suresnes comme choix géographique. Ceux-là dorment sur un serveur informatique. Monsieur Logement nous a bien expliqué que lui, le serveur, il ne s'y connecte pas, parce qu'il a déjà 2000 dossiers à gérer... et éventuellement quelques-uns des 5000 autres aussi... Voyez ? For-mi-da-ble !

La bonne nouvelle, c'est que notre dossier lui paraît "excellent" et il pense que nous n'avons plus que quelques mois de patience à avoir. Nous attendons un T3, et il y a pas mal de mouvements dans les T3 à Suresnes apparemment. Alors d'ici la fin de l'année ça devrait le faire. On espère !
D'ailleurs, les 4 ans de délais, c'est une moyenne départementale constatée. Ouf !

vendredi 13 avril 2012

Le Lac de Guerlédan

Tout vient à point à qui sait attendre.

Le lac de Guerlédan est un lac artificiel situé en plein coeur de la Bretagne, à cheval sur la limite entre le Morbihan et les Côtes-d'Armor. Il existe depuis 1930 et la construction du barrage de Guerlédan sur le cours d'eau du Blavet. Long de 12 km, grand de 400 ha et profond de 40 m au pied du barrage, il est le plus grand lac artificiel de Bretagne.
Le Lac de Guerlédan, vu de très haut (Google Maps)

Ce barrage a été construit pour l’électrification du Centre-Bretagne et a interrompu la navigation fluviale : 17 écluses du canal de Nantes à Brest furent immergées sous le lac !
Le chantier fut laborieux et dura sept ans de 1923 à 1930. Aujourd'hui le barrage de Guerlédan n'est plus une source majeure d'électricité, et le lac est devenu un lieu touristique. On peut y pratiquer diverses activités nautiques ou bien se promener sur les rives du lac et profiter de jolis points de vue panoramiques notamment au rond point du lac et à l'anse de Landroannec.

Nous avons eu la chance d'y séjourner lors de l'été dernier, pendant deux semaines. On y était dans un village de vacances familial, et notre vue était imprenable sur le lac. Durant tout le séjour nous avons apprécié les différents types de brumes sur la surface de l'eau, la faune très variée qui a investit cette zone, et puis la douceur du climat qui y règne. Nous avons pu faire une randonnée de plusieurs heures à pied le long du lac (on n'a pas fait tout le tour, c'est bien trop immense !) et une balade en canoé pour aller voir le barrage.

La vie au bord du lac a été douce, et même le jour de LA fête du lac, tous les ans le 15 août : grosse fiesta avec un méga vide grenier et diverses animations pour petits et grands.

mercredi 1 février 2012

Sacré P.I.M.N.E. !

Tous les mois je pense à écrire ce billet et tous les mois je me dis que finalement non, je ne vais pas le faire, et puis là, je me dis que quand même .... 
Vous savez certainement que pour utiliser les transports en commun, tous les réseaux (ou presque ?) proposent aux voyageurs réguliers de souscrire un abonnement. En Île-de-France, pourtant terre de contrastes, on ne déroge pas à la règle. La RATP propose différents types d'abonnements. Le plus intéressant financièrement est le forfait Navigo annuel. Selon les zones géographiques utilisées, vous pouvez payer sur 11 mois la jouissance illimitée du réseau pendant un an : métro, bus, tram, RER, trains sans réservation, etc. Ce type d'abonnement est payé par prélèvement automatique, donc tout se fait tout seul, tant que le compte bancaire est approvisionné :-)
L'autre formule couramment utilisée est le forfait Navigo Mois, qui comme son nom l'indique... permet de voyager de façon illimitée du premier au dernier jour du mois, dans les zones géographiques choisies. Il faut payer une fois par mois, à une borne, un guichet RATP, un commerce agréé ou dans un guichet automatique bancaire. Cette opération est très souple car les points de rechargement sont très nombreux et la période de rechargement est ... quasi permanente. L'abonné mensuel peut recharger son passe du 20 du mois précédent au 19 du mois en cours. Donc pour payer l'abonnement de février (et pouvoir voyager dès le 01/02 à 0h00) il peut recharger dès le 19 janvier...

Et alors ??
Et c'est quoi cette histoire de PIMNE ??

--> Phénomène Identifié Mais Non Expliqué --> Tous les mois, le 1er matin non férié une file d'attente assez conséquente pousse le long des points de rechargement d'Île-de-France. C'est incontournable, et invariablement prédictible. 
Ce matin, ça n'a pas loupé, je n'ai pas vu une borne sans sa ribambelle de voyageur dont l'abonnement n'était pas renouvelé... 
Soit la RATP n'a pas assez communiqué sur les périodes de rechargement, soit les mois passent trop vite...
J'ai bien pensé à la crise du porte-feuille aussi, mais je n'y crois pas trop.
Pour info les abonnements aux transports en commun des travailleurs franciliens sont pris en charge à 50% minimum par les employeurs. Certes il faut quand même avancer la somme (entre 19 et 111€ selon les zones)...

Note pour moi même : la prochaine fois, prendre une photo...

Edit : J'ai trouvé une photo déjà prise, datant du 1er juin 2007 (merci Internet et pablo.blog.lemonde.fr !) avec légende :

1- 1 un guichet d'information : 2 agents de la RATP
2- 2 automates de vente : la file est estimée à 70 personnes
3- une agence de vente RATP, réservée aux souscriptions et créations d'abonnement,
donc pas utile pour le rechargement


jeudi 26 janvier 2012

Prochain concert gospel


Un choeur de 100 enfants et une chorale gospel, ça va dépoter !

jeudi 29 décembre 2011

Petite ville grand renom...

Le poème rabelaisien dit :
« Chinon, Chinon, Chinon,
Petite ville, grand renom,
Assise sur pierre ancienne,
Au haut le bois, au pied de la Vienne ». 
Faisons un test, et tapons "Chinon" dans Google actualités. Qu'en resort-il ? Rien de bon ou presque en cette fin d'année. On a le choix entre 305 liens différents qui traitent du même fait divers : la "Madoff de Touraine". Ensuite on en trouve un vers un article relatant le lancement du réacteur nucléaire de la centrale dite de Chinon (1963). Un article de Ouest France dresse le portrait d'une chinonaise comportementaliste et éducateur canin expatriée. Vous trouverez encore quelques liens vers "l'affaire" puis vous apprendrez que Micheline fait toujours la conversion en francs quand elle fait ses courses chez Leclerc, et enfin, une note heureuse, la maternité vient d’obtenir le label « Initiative Hôpital Ami des Bébés ». Ouf ! enfin une maternité qui s'occupe des bébés.........

Bon, et alors ? 
Ben rien. Chinon, c'est ma ville, je l'aime, j'aime y retourner, et j'aime m'en éloigner. Mais je trouve qu'elle ne rayonne pas. A part une pub pour son AOC (vin) entendue à la radio de temps en temps, on n'entend jamais parler de Chinon pour des choses positives. Et ça me touche. 
Entre la Madoff, les bébés congelés, les risques liés à la centrale nucléaire (qui n'est pas à Chinon), etc. il y a de quoi faire...

Si, vous qui me lisez, vous avez le temps et le loisir de vous arrêter à Chinon, n'hésitez pas. Le climat y est doux (surtout en ce moment, on se demande si l'hiver compte passer par là). Les gens y sont généralement gentils, même s'il faut parfois leur laisser le temps de se détendre. En tout cas vous y mangerez bien, et bon, et puis vous y dégusterez toujours du bon vin. Certes, ça ne fait pas tout, mais la vie y est agréable. Alors si vous n'avez qu'une heure à y consacrer, ne la regrettez pas, et profitez-en bien !

mercredi 12 octobre 2011

Pourquoi ?

En début d'année, Maï et moi avons été contactées par la maison d'éditions 365 via notre blog commun, Bol de culture. On nous proposait de nous occuper de l'édition 2012 de leur "Almaniak" Pourquoi ? Les Almaniaks sont des almanachs sur divers sujets : l'histoire, la cuisine, l'humour... Il s'agissait d'écrire 314 articles répondant à une question commençant par "Pourquoi... ?"

Nous avons rapidement accepté cette mission et nous nous sommes mises au travail. Pour ma part, je devais jongler entre la vie de maman, d'épouse, d'employée, de chanteuse amateur et surtout de femme vivant en Région parisienne ! J'ai pu mettre à profit mes heures de transports, qui (pour une fois) ont été un avantage : un laps de temps pendant lequel j'ai du temps pour m'occuper à ce que je veux sans bébé dans les pattes :-) En l'occurrence, je peux dire que j'ai écrit ce livre dans les transports (pourtant, la RATP n'a pas sponsorisé :-p). Par contre le travail de recherches devait se faire sur ordi, à la maison. Donc j'ai dû rusé. Et puis il y a eu des moments de relecture et de discussion avec ma co-auteure (merci Skype et les messageries instantanées).

J'espère que vous aurez autant de plaisir à nous lire que nous en avons eu à apprendre des choses, pour pouvoir vous les rapporter.

Malheureusement il n'y aura sans doute pas de suite, puisque nous avons eu quelques problèmes avec la maison d'édition au moment de la relecture et de la mise en page... C'est dommage ! Cependant, nous sommes fières de vous présenter notre œuvre, qui sort aujourd'hui même. Nos noms ne sont pas sur la couverture, mais nous en sommes bien les auteures ! Internet a du mal à suivre, pour le moment sur les différents sites nous nous appelons Maïwenn Maïwenn, ailleurs on peut lire Maïwenn Morvan - Laëtitia b, ou encore Xxx ! 
Si vous voulez vous cultiver de manière ludique, n'hésitez pas à acquérir cet Almaniak. Il est en vente partout au prix de 12,90 euros. N'attendez pas trop, l'édition 2011 est épuisée, on espère que ce nouvel opus connaîtra le même chemin ! 
Le lien vers le site des Editions 365 (où vous pourrez feuilleter quelques pages de Pourquoi ? 2012)

samedi 23 juillet 2011

Paris, Eglise de la Madeleine

J'ai eu l'honneur et le plaisir de chanter lors d'un mariage à Paris, dans le majestueux cadre de l'église de la Madeleine, en plein cœur du quartier Haussmanien. A cette occasion, j'avais envie de parler du lieu sur ce blog. C'est parti !
Cette église est située place de la Madeleine, dans le 8è arrondissement de Paris. C'est à une rue de la place de la Concorde, derrière le palais de l'Elysée, dans le bas des Champs-Elysées. L'église de la Madeleine est donc celle du président de la République.
Comme vous le voyez sur la photo, cet édifice n'a pas l'air d'une église chrétienne, mais plutôt d'un temple grec.

En 1806, Napoléon voulait effectivement un temple à la gloire des Armées françaises. Les travaux commencèrent, mais les fonds manquèrent et le chantier fut arrêté. Le projet de temple fut alors abandonné, au profit de celui d'une église. Les Bourbons, de retour sur le trône de France, reprirent le chantier, et l'idée. En 1828, l'architecte à l'origine du projet, Pierre-Alexandre Vignon, mourut sans voir terminée son œuvre.
C'est donc Jacques-Marie Huvé qui reprit le flambleau, et le chantier s'accéléra, mais la Révolution de 1830 le stoppa de nouveau.
Louis Philippe ne souhaita pas que l'édifice devienne une église. Il pensa à le transformer en gare ferroviaire avant de se raviser. Les travaux reprirent et furent terminés en 1845. L'église fut consacrée la même année.
L'église de la Madeleine s'insère parfaitement dans la perspective de la rue Royale jusqu'à l'Assemblée nationale. Lorsque la grande porte s'est ouverte pour laisser entrer la mariée, nous avons, de derrière l'autel, vu toute cette perspective inondée de soleil... cet instant a suffi à rendre l'expérience inoubliable.



Le décor intérieur de l'église mériterait un billet à lui tout seul.
Quand on entre dans ce lieu, on ne peut pas ignorer la sculpture qui domine le choeur. Le Ravissement de sainte Marie-Madeleine est somptueux. Charles Marochetti (1806-1868) mit douze ans à le sculpter. L'image est floue, mais vous pouvez admirer le chef-d’œuvre ci-dessous.

Marie Madeleine est figurée un sein à l'air, mais les anges qui l'entourent sont si remarquables que le téton passe inaperçu (je parle de celui de Marie Madeleine, ne cherchez pas sous l'aube, les miens étaient rangés :-p)
Les fresques sont nombreuses tout autour de la nef et du choeur, multicolores et variées. Vous n'aurez pas assez d'une seule visite pour tout voir et moi non plus ! J'ai déjà prévu d'y retourner, une 3è fois !

vendredi 22 juillet 2011

Vivre avec son temps

Une petite péripétie vécue me renvoie une triste réalité à la figure : les femmes ne sont pas les égales des hommes dans notre société. Je parle d'égalité sociale.
Mon mari et moi avons un compte joint. Rien d'extraordinaire. Le compte est libellé au nom de Monsieur ou Madame Brunet - si vous voulez faire un virement je peux vous laisser notre RIB ;-) - et nous l'utilisons tous les deux, avec accord réciproque.

Hier nous avons passé une commande par internet, ensemble, en payant par carte bancaire.
Ce matin, un e-mail a été envoyé à Monsieur pour signaler que Madame avait effectué un achat sur un site internet. Il lui fallait donner son aval.
A midi, une femme m'a appelée dans le même but, il s'agissait d'une employée du site marchand. "Le nom du porteur de la carte est différent du nom de la cliente, alors je dois vous contacter pour vous demander des précisions."
En effet, sur la carte bancaire d'un compte joint, c'est toujours celui de l'homme qui est retenu (dans la mesure où l'un des titulaires du compte est un homme). Alors que c'est bien connu, la carte a beau appartenir à Monsieur, c'est Madame qui s'en sert ! :-p

Nous sommes en 2011, et mon mari a dû valider mon paiement... Pauvre France...

Dis, chéri, tu valides mon achat steuplé ?

lundi 27 juin 2011

Arnaque à la carte bancaire

On entend parfois aux informations "Attention ! Ne communiquez jamais d'informations concernant votre carte bancaire, surtout pas par Internet !" et à chaque fois je me dis "quand même, c'est fort, d'appeler au bon sens !"
Mais bon, on nous rappelle aussi de .... bien se laver les mains. Alors si les choses les plus élémentaires ne sont pas dans les moeurs, les choses qui sont secondaires....
Tiens d'ailleurs, vous vous êtes lavé les mains souvent aujourd'hui ?

Bref, pourquoi je parle de cela ?
Parce que j'ai reçu le mail suivant sur une de mes adresses e-mail :
(cliquer dessus pour mieux lire, vous ne risquez rien)

Et là je me dis que franchement, qui est assez naïf pour croire que votre banque peut vous envoyer un message pareil ?
Il y a d'autres moyens de vous contacter, autrement plus fiables, et si l'orthographe n'est pas une condition sine qua non à la communication, dites-vous bien que les messages "haute sécurité" ont intérêt à être irréprochables.
Par ailleurs, l'adresse qui a reçu ce message n'a jamais été communiquée à aucune banque, pas par moi en tout cas.
Enfin, si vous recevez ce type de message, il prédit que si vous cliquez sur "cliquez ici" vous arriverez en théorie sur un site sécurisé (comme celui d'une banque). Amusez-vous alors à pointer le lien bleu avec votre souris, et vous verrez que l'adresse cible ne commence pas par "https://" qui est le préfixe obligatoire à tout site sécurisé.

Ah la la la ! J'ai failli mettre le mail à la poubelle sans écrire ce petit billet. C'eut été dommage, non ?

vendredi 24 juin 2011

C'était génial !

Une fois n'est pas coutume, je vous annonce un concert... déjà passé !


Vous avez vu l'affiche ? Je suis dessus !!!

La Fête de la musique à Suresnes... je ne sais pas ce que ça a donné, mais ce que je sais c'est que j'ai chanté dans la salle des fêtes et que j'y ai pris beaucoup de plaisir. Le petit plus, c'est que le public aussi apparemment ! Youpi yeah !
Alors vivement la prochaine date de concert !
Bon en revanche, je crois que c'est un mariage la prochaine date, donc on se devra d'être aussi bons, mais on ne fera pas le show de la même façon. Nous ne serons pas le clou du spectacle, puisque nous ne serons pas là pour faire le spectacle. Ce sera en juillet, et le cadre sera majestueux. Je vous laisse deviner où, je ferai sûrement un billet dessus ultérieurement, mais voici sa photo :

Alors ? ça vous inspire ?

mercredi 20 avril 2011

C'est le printemps !

Allez, allez, on ne faiblit pas ! Un petit coup de ménage de printemps à la maison et sur le blog, et ça repart !
L'hiver est passé à une vitesse folle pour moi. Et le printemps est prometteur aussi, vivement cet été ! :-)
Bon alors je suis désolée, fidèles lecteurs, je vous ai un peu délaissés. Mais parce que je suis occupée par ailleurs. Je ne promets pas de reprendre un rythme soutenu dès demain, mais j'y pense sérieusement, si, si !
Pour ceux qui l'ignorent encore, la principale (pré)occupation de ma vie est ma toute petite minette, qui n'a pas encore de couettes, mais qui est super chouette ! Comme je suis une maman qui travaille, j'ai peu de temps avec elle, entre la journée de travail, le temps de transport, et la vie domestique (courses et popotte principalement)... Concrètement, il s'écoule 2h le soir entre les retrouvailles et le dodo. Dans ces deux heures il faut jouer, papouiller, chatouiller, gratouiller, rigoler, changer de tenue, faire une toilette de minette, et manger. Puis jouer, bisouiller, papouiller, lire un livre, chanter dans son oreille, la bisouiller et la laisser trainer et flâner.
Pendant quelques mois, Papa a été retenu loin de la maison durant la semaine, et là j'ai dû me transformer en WonderMamane ! Enfin sans la tenue, parce que j'ai pas trouvé ma taille, mais avec les mêmes super-pouvoirs quand même. J'ai tout géré, ou presque. Par contre je ne sais pas à quoi elle tournait la supernana parce que moi je suis arrivée au bout de la période sur les rotules, exténuée que j'étais !
Maintenant, on est deux grands pour gérer la toute petite, et ce n'est pas de trop ! Elle a développé une technique imparable pour nous faire tourner en bourriques... elle fait des sourires de tueuse, nous blague à longueur de temps et nous attrape par les sentiments. Sacrée coquine !
Bon, là, je prends du temps parce que je suis sans Papa, et sans Minette. Alors je souffle ! Mais j'ai hâte qu'ils reviennent, qu'on s'amuse tous les trois comme des fous !