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dimanche 29 avril 2012

Formulaire n°14069

C'est la référence du document CERFA par lequel tout commence quand on sollicite l'accès à un logement social. Je vous raconte ?
Avant de vous remettre les clefs d'un logement social, on vous met à l'épreuve. Tout d'abord on vous demande de remplir un joli formulaire de 4 pages pour connaître la situation actuelle des demandeurs, du point de vue du logement, des ressources, de la composition de la famille, et puis pour connaître les souhaits en matière de futur logement.
Depuis le printemps 2004, l'administration a révolutionné le système, à l'initiative de Benoist Apparu, secrétaire d’Etat chargé du Logement (UMP). On vous permet de faire une demande à n'importe quel bailleur social (HLM, commune, etc.) de votre département, qui vous remet un Numéro Unique. Ce graal sert ensuite à toute les structures concernées. Youhou !
C'est-y pas merveilleux ? L'informatique au service de la communauté des demandeurs et du temps (et du papier) économisé du côté des bailleurs. For-mi-da-ble !

Nous avons fait une demande de logement social. On nous a prévenus que le délai de patience est de 4 ans en moyenne... Bon, on a un toit sur la tête, on n'est pas dans l'urgence. On aimerait juste pouvoir avoir une chambre de plus. Une pour Minette, et une pour ses parents. Pas très original en réalité.
Nous avons donc fourni les pièces justifiant de notre situation familiale, de notre logement actuel, de notre nationalité, de nos revenus, accompagnées du fameux formulaire dûment rempli.
En attendant de recevoir notre Numéro Unique nous avons appris que dans notre commune, une partie du parc HLM est proposé à la vente à des prix dérisoires. Il faut que je vous parle de ça aussi... Bon, on fera un autre  billet ultérieur.
Le N° unique est arrivé, délivré avec la liste de tous les bailleurs sociaux locaux. Euh.... on fait quoi avec ça ? Aucune notice, aucune piste... Nous savons juste que le n° n'est valable qu'un an. Il faut donc renouveler la demande avant la fin de ce délai.


Après un temps de patience, nous avons contacté Monsieur Logement de notre ville. Son secrétariat nous a demandé si nous avions déposé un dossier papier. Oui, nous avons un Numéro Unique ! (Multipass !) Ah mais oui, mais votre dossier, il est déposé où ? Auprès de l'Office HLM. Donc vous devez d'abord refaire un dossier, puis nous le transmettre, attendre 1 à 2 semaines, et nous rappeler.... Grrrr !

Rebelotte. On redonne nos 3 derniers bulletins de salaires, notre bail actuel, la copie du livret de famille, la dernière radio panoramique des dents, et la date de la fête de Pâques 2018... ah non, pardon, je m'égare, mais c'est presque ça !

Soit dit en passant, nos pièces sont très confidentielles et nous ignorons ce qu'il en est fait... A l'heure où on fustige Internet de peur d'une usurpation d'identité, il faudrait peut-être s'inquiéter du devenir de tous ces documents fournis à tant d'administration, non ?

Ensuite on patiente puis on rappelle. Mais Monsieur Logement est en congés. Donc on remet l'entretien tel à plus tard.

Enfin, on arrive à joindre Monsieur Logement qui nous explique ce que nous n'avons pas compris...
Le Numéro Unique est une farce. Certes nous avons une référence qui signifie à tous les bailleurs sociaux d'Ile de France que nous avons déjà fait une demande. Mais pour que notre dossier soit lu par un bailleur, il faut le constituer et le lui déposer (!!), et monter autant de dossiers que de bailleurs à contacter. Par exemple, la ville de Suresnes a actuellement 2000 dossiers à gérer. C'est le nombre de demandeurs habitant déjà Suresnes. Sinon, il y a 5000 dossiers de personnes n'habitant pas Suresnes, mais qui souhaitent s'y installer. A ces 7000 dossiers, il faut ajouter ceux des personnes qui pensent avoir fait une demande de logement à Suresnes parce qu'elles ont déposé leur dossier ailleurs, en précisant Suresnes comme choix géographique. Ceux-là dorment sur un serveur informatique. Monsieur Logement nous a bien expliqué que lui, le serveur, il ne s'y connecte pas, parce qu'il a déjà 2000 dossiers à gérer... et éventuellement quelques-uns des 5000 autres aussi... Voyez ? For-mi-da-ble !

La bonne nouvelle, c'est que notre dossier lui paraît "excellent" et il pense que nous n'avons plus que quelques mois de patience à avoir. Nous attendons un T3, et il y a pas mal de mouvements dans les T3 à Suresnes apparemment. Alors d'ici la fin de l'année ça devrait le faire. On espère !
D'ailleurs, les 4 ans de délais, c'est une moyenne départementale constatée. Ouf !

vendredi 24 juin 2011

C'était génial !

Une fois n'est pas coutume, je vous annonce un concert... déjà passé !


Vous avez vu l'affiche ? Je suis dessus !!!

La Fête de la musique à Suresnes... je ne sais pas ce que ça a donné, mais ce que je sais c'est que j'ai chanté dans la salle des fêtes et que j'y ai pris beaucoup de plaisir. Le petit plus, c'est que le public aussi apparemment ! Youpi yeah !
Alors vivement la prochaine date de concert !
Bon en revanche, je crois que c'est un mariage la prochaine date, donc on se devra d'être aussi bons, mais on ne fera pas le show de la même façon. Nous ne serons pas le clou du spectacle, puisque nous ne serons pas là pour faire le spectacle. Ce sera en juillet, et le cadre sera majestueux. Je vous laisse deviner où, je ferai sûrement un billet dessus ultérieurement, mais voici sa photo :

Alors ? ça vous inspire ?

mardi 16 novembre 2010

vendredi 18 juin 2010

Il y a 70 ans ...

Le Général de Gaulle appelait les Français à la résistance. Dans ma famille, certains ont répondu par les actes, ont risqué leurs vies pour notre pays, pour le défendre contre l'ennemi, dans l'ombre, sans chercher aucune gloire. Aujourd'hui, plus qu'un autre jour, je pense à eux.

Le texte de l'appel du Général à la radio le 18/06/1940 :

"Les chefs qui, depuis de nombreuses années, sont à la tête des armées françaises, ont formé un gouvernement.

Ce gouvernement, alléguant la défaite de nos armées, s'est mis en rapport avec l'ennemi pour cesser le combat.

Certes, nous avons été, nous sommes, submergés par la force mécanique, terrestre et aérienne, de l'ennemi.

Infiniment plus que leur nombre, ce sont les chars, les avions, la tactique des Allemands qui nous font reculer. Ce sont les chars, les avions, la tactique des Allemands qui ont surpris nos chefs au point de les amener là où ils en sont aujourd'hui.

Mais le dernier mot est-il dit ? L'espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle définitive ? Non !

Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis que rien n'est perdu pour la France. Les mêmes moyens qui nous ont vaincus peuvent faire venir un jour la victoire.

Car la France n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle a un vaste Empire derrière elle. Elle peut faire bloc avec l'Empire britannique qui tient la mer et continue la lutte. Elle peut, comme l'Angleterre, utiliser sans limites l'immense industrie des Etats-Unis.

Cette guerre n'est pas limitée au territoire malheureux de notre pays. Cette guerre n'est pas tranchée par la bataille de France. Cette guerre est une guerre mondiale. Toutes les fautes, tous les retards, toutes les souffrances, n'empêchent pas qu'il y a, dans l'univers, tous les moyens nécessaires pour écraser un jour nos ennemis. Foudroyés aujourd'hui par la force mécanique, nous pourrons vaincre dans l'avenir par une force mécanique supérieure. Le destin du monde est là.

Moi, Général de Gaulle, actuellement à Londres, j'invite les officiers et les soldats français qui se trouvent en territoire britannique ou qui viendraient à s'y trouver, avec leurs armes ou sans leurs armes, j'invite les ingénieurs et les ouvriers spécialistes des industries d'armement qui se trouvent en territoire britannique ou qui viendraient à s'y trouver, à se mettre en rapport avec moi.

Quoi qu'il arrive, la flamme de la résistance française ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas.

Demain, comme aujourd'hui, je parlerai à la Radio de Londres."

Les hasards de la vie font que j'habite au pied du Mémorial de la France Combattante, ce monument est aux Français combattants, résistants et déportés. Il est érigé sur le flan du Mont Valérien à Suresnes (92). Il n'est pas très joli, mais ce lieu inspire un immense respect. J'ai eu la chance de visiter sa crypte. Lieu sobre, mais impressionnant.
En fin d'après-midi, il sera le lieu d'une grande cérémonie en présence du Président de la République et retransmise sur France 2 (à partir de 18h).

lundi 14 juin 2010

Mes quarts d'heure

Qui dit juin, dit fin de cycle. Qu'on soit scolaire ou membre d'une association, on arrête habituellement toute activité à la fin du mois de juin. Me concernant, je chante au sein d'une chorale Gospel, et les prestations se multiplient entre le printemps et l'été. Je n'ai pas pu participer à toutes les dates prévues, mais je viens d'en faire deux depuis le début du mois. Et ce n'est pas fini !
On était beaux, je vous laisse juger.
A Suresnes, le 6 juin 2010, ouverture et fermeture d'un mariage civil


A Colombes, le 13 juin, lors du festival "La voix dans tous ses éclats"


A l'avenir, chacun aura son quart d'heure de célébrité.
Andy Warhol

vendredi 4 juin 2010

mardi 22 septembre 2009

Festival des Vendanges 2009

Où se déroule le 1er festival des arts de rue en Ile de France ? A 50m de la maison ! A Suresnes, donc.
Des vendanges en ville ? me direz-vous. Eh bien oui, Suresnes possède ses vignes depuis des siècles, et les dorlote ! Comme bien des communes françaises, la ville fêtera les vendanges cet automne, et ce sera exactement les 3 et 4 octobre prochains.
Au programme, plus de 20 compagnie d'arts des rues prendront les cités-jardins pour leur terrain de jeu, sous forme de déambulations, de cirque, de danse, de marionnettes, de théâtre, de musique, et même d'une grande parade le dimanche matin. Evidemment, il y aura aussi une dégustation de vin de Suresnes (pour les autres, pas pour moi) et une intronisation de personnalités par la Confrérie du Vin de Suresnes.
Et vous savez quoi ? Je chanterai gospel le dimanche après-midi, au pied du théâtre Jean Vilar, au sein de la chorale Gospel Hearts !


J'ajoute la preuve ;-)


samedi 19 septembre 2009

Les journées du patrimoine à Suresnes

Cette année je ne ferai probablement pas de visite mais le programme de Suresnes donne bien envie. Comme l'an passé l'Ecole de plein air sera ouverte aux visites (je vous rappelle que j'avais adoré l'an passé !), ainsi que la forteresse du Mont-Valérien, haut-lieu d'histoire et pas seulement enceinte militaire. Les visiteurs pourront circuler dedans, découvrir le colombier national (pigeons voyageurs), la chapelle des fusillés, et la clairière où ils ont péri, le musée des transmissions, des véhicules du 19è siècle, etc. Cerise sur le gâteau, ils pourront aussi appercevoir mon petit mari qui est ce jour pour cause de garde ;-) En photo le bâtiment dit "de 1812".
La vigne de Suresnes sera ouverte également, avec visite de cave et dégustation !
Et le lycée Paul Langevin (photo) pourra également être découvert, sous la direction de ses élèves.

Suresnes a connu un essort incroyable au début du 20è siècle, comme beaucoup d'autres villes de banlieue parisienne. Mais la commune a bénéficié de la patte de Henri Sellier (photo), maire de Suresnes en 1919 à 1941. Une exposition lui est d'ailleurs consacrée au musée de la ville depuis cette semaine jusqu'en mars prochain.

Lorsqu'il a été élu, la population de Suresnes venait de croître de 10 000 âmes en 25 ans. Principalement des ouvriers venus travailler dans les industries locales, ils vivaient dans des taudis. Henri Sellier devait résoudre ce problème de logement, comme d'autres maires, mais il avait également à coeur d'apporter à tous des conditions de vie descentes, ce qui pour l'époque pouvait paraître superflu... C'est à lui que la banlieue parisienne doit 11 de ses cités-jardins, dont celle de Suresnes (photo), une des plus abouties. Il a aussi fait installer l'école de plein-air, un bureau municipal de l'hygiène, un service social à l'enfance et des groupes scolaires (de la maternelle à l'enseignement supérieur) afin que l'instruction publique se généralise. Il est certain que sans Henri Sellier, la ville aurait un autre visage.

Les images qui illustrent ce billet ont été prises sur le site Topic Topos

jeudi 25 juin 2009

Vélib' arrive à Suresnes

Dans 4 jours seront ouvertes les 4 stations suresnoises de Vélib'. Pour les cancres au fond qui ne suivent pas, Vélib' c'est le service de location de vélos lancé sur Paris depuis 2 ans. Certaines communes limitrophes de la capitale s'y sont mises également, et maintenant c'est au tour de Suresnes.
Pour avoir vu le plan des installations je suis déçue, car la ville est située sur deux niveaux et les stations sont toutes placées en bas, dans la ville historique. Du coup, c'est très bien pour ceux qui voudront se promener dans le Bois de Boulogne en Vélib', ils trouveront une station d'emprunt et une station de dépôt d'un côté comme de l'autre, mais pour le Suresnois courageux (la bête pèse toujours 22,5 kg !) il n'y aura pas moyen de prendre son Vélib' en bas, et de le déposer en haut (ni au Suresnois aventurier de descendre les rues à toute berzingue) puisqu'il n'y a pas de station en ville haute...
Mais je suis peut-être un peu trop pressée. Il fallait bien commencer quelque part.
Alors patience, mais saluons quand même l'arrivée des vélos libres à Suresnes !

Pour rappel : il faut d'abord s'abonner (29€ pour un an ou 5€ pour la journée ou la semaine) et retirer un Vélib', les 30 premières minutes sont gratuites. Ensuite il faut compter
- 1 € pour la 1re demi-heure supplémentaire,
- 2 € pour la 2e demi-heure,
- 4 € toutes les 30 minutes à partir de la 3e demi-heure et au-delà.

samedi 16 mai 2009

Ecole de plein air de Suresnes

J'ai déjà eu l'occasion d'évoquer Suresnes sur ce blog. J'y vis depuis 2 ans maintenant et j'adore cette commune. Elle est diverse et variée, et c'est un plaisir de la découvrir toujours un peu plus, pour moi en tout cas. Aujourd'hui je vais vous faire visiter un monument historique suresnois : l'école de plein air de Suresnes.

L'école de plein air vue du ciel
Agrandir le plan

Qu'est-ce que c'est ?
C'est une ancienne école municipale privée, destinée à des enfants malades (tuberculose, problèmes respiratoires ...) construite par Eugène Beaudoin et Marcel Lods dans les années années 1930.
L'idée principale du concept est hygiéniste. Cette école sera installée dans un parc d'environ 2 hectares, sur le versant ensoleillé du Mont Valérien.
L'école, qui a accueilli jusqu'à 300 enfants en même temps, a fermé ses portes en 1996. Ses locaux sont actuellement utilisés par le CNEFEI (Centre national d'études et de formation pour l'enfance inadaptée), devenu en 2006 l'INS HEA (Institut national supérieur de formation et de recherche pour l'éducation des jeunes handicapés et les enseignements adaptés). Les bâtiments, inscrits depuis 1965 à l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques, sont actuellement en mauvais état. Elle est classée Monument Historique depuis le 24 avril 2002, et devrait être rénovée.

Les bâtiments sont tous construits sur le même principe : un mur plein du côté à l'ombre, et 3 murs vitrés. Il y a le bâtiment principal de 2 étages et long de 200m qui abrite le tout du vent, et 8 pavillons qui servaient pour faire classe.


Maquette en 3D



Deux des huit pavillons

Huit pavillons de classe sont dans le parc, reliés entre eux par des galeries. Chaque pavillon peut être ouvert par 3 côtés, chauffé par le sol (sous un dallage en quartzite), et sa terrasse peut servir de solarium. Je vous rappelle que la conception date des années 1930 ! Les enseignants pouvaient donc emmener la classe dans le parc comme sur le toit, selon l'ensoleillement.

Pour la classe de géographie, les petits pouvaient grimper le long d'un globe terrestre, grâce à une rampe d'accès, et passer la main sur les reliefs de la planète (voir la photo ci-dessous). Ainsi ils pouvaient voir la différence d'altitude entre les montagnes et les plaines, entre la terre et la mer ...


Le globe terrestre et sa rampe

D'ailleurs, pour circuler dans l'école, les enfants n'utilisaient que des rampes, pas d'escaliers, pour éviter de trop solliciter leurs articulations. Même le mobilier a été pensé exprès pour l'école de plein air. Des sièges-pupitres en aluminium et en bois, des lits d'aluminium sur lesquels il suffisait d'installer un drap de coton...

Le ryhtme des enseignements était adapté au rythme naturel des enfants. Devant chaque classe, un espace ombragé est destiné à l'enseignement de plein air, privilégiant l'observation. À son arrivée, l'enfant passait un contrôle médical puis se lavait les mains, se brossait les dents avant de rejoindre sa classe-pavillon. Avant le repas de midi, tous les enfants passaient aux douches et aux bains. D'ailleurs, les bassins étaient aussi adaptés au plein air (photos ci-dessous : à l'époque / aujourd'hui).





Si vous souhaitez en savoir plus sur cette école, je vous renvoie aux sites de Suresnes et de l'INSHEA (dont j'ai extrait les photos d'époque). La visite est faisable lors des journées du Patrimoine.
Merci d'avoir lu ce billet jusqu'à la fin. J'ai adoré cette visite, qui a duré des heures, et j'y ai appris les idées de l'époque en matière d'"éducation moderne". Aujourd'hui le rythme des enfants et leur hygiène ne sont plus au centre de l'enseignement (il me semble). Vous imaginez nos petits écoliers commencer la journée d'école par une douche collective, un brossage de dents et un examen médical ?

vendredi 17 avril 2009

Quand on arrive en ville

HADOPI - Le Net en France : black-out
Vous connaissez Google Maps et son impressionnant dispositif Street View ? Pour les néophytes un petit rappel s'impose.
Google Maps est un outil cartographique puissant qui permet de trouver rapidement un lieu, partout dans le monde, sur internet. Divers outils y sont reliés, je ne vais pas les lister ici.
Google Maps permet de visualiser les lieux à la manière d'une carte classique, ou avec une vue satellite.
Et une nouvelle fonctionnalité, qui s'appelle Street View, permet de visualiser les lieux de grandes villes comme si on y était ! Une voiture équipée d'appareils de prise de vues sillonne les rues et après traitement vous permet de vous promener virtuellement dans ces rues.
Ce point de rappel fait, voici un exemple le rond point de l'Etoile à Paris. Mode plan, mode satellite et Street View, avez-vous déjà conduit autour de l'Arc de Triomphe. (cliquez pour mieux voir)
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Etonnant non ?

Et alors ? Eh bien jusqu'à présent j'étais toute déçue de ne pas pouvoir sillonner Tours, ni Suresnes... mais c'en est fini !
La Google Car est passée par (presque toutes) les rues de Suresnes. Vous pouvez donc venir vous y promener, et ainsi voir le village anglais, la mairie de Suresnes, les vignes municipales...

Vous pouvez aussi vous perdre dans les tunnels de La Défense ou dans les allées du Bois de Boulogne ;-)

dimanche 1 mars 2009

Le printemps est revenu

En tout cas, il est venu pour une journée, et notre promenade fut un plaisir. Quand je vous dis que Suresnes domine Paris ! Visez un peu.


(pour voir plus grand il suffit de cliquer sur l'image)

dimanche 20 juillet 2008

Surprise, affaire et déception

Ce samedi nous avons décidé d'aller voir en ville le temps qu'il y faisait. Enfin on voulait surtout voir la grande surface suresnoise entièrement dédiée à la nature : animalerie, jardinerie, et meubles de jardins. On l'a vue, on a fait nos emplettes, et comme le magasin propose un parking souterrain gratuit, on en a profité pour aller voir l'autre grande surface juste à côté... L'enseigne annonce : vêtements et décoration.
.... Je ne sais pas par où commencer....
Imaginez un entrepôt, un peu aménagé, des caisses dans lesquelles on peut trouver des vêtements en vrac. Ah ben oui, j'avais oublié : la période des soldes est toujours en cours ! Bon, un peu de déco pour la maison, à des prix prohibitifs pour moi. Je note que la mode en matière de déco est incontestablement l'objet qui porte son nom. Sur les verres il y a écrit "sirop", ou "limonade", sur les pots à café il y a.... "café", au cas où les neuneus ne sauraient pas trop quoi mettre dedans. Les assiettes aussi sont marquées, et je me demande comment ils font sur les cure-dents....
Il y a des meubles aussi dans ce magasin, mais franchement pas à mon goût. A l'opposé des meubles modernes, ce sont des meubles en bois brut. Quand j'écris brut, c'est vraiment brut : prenez trois petites bûches, collez-les ensemble, ajoutez un petit coussin rond ... ça fait un tabouret ! Et l'étiquette porte 3 chiffres avant la virgule....
Avant de quitter l'endroit, je me suis dit que finalement je pourrais quand même regarder si les soldes pourraient me permettre quelques achats... Et là ! Je n'en ai pas cru mes yeux !! Dans les caisses en vrac, les prix étaient entre 1 et 10 euros. Mais ma surprise venait des étiquettes.... J'ai acheté 3 hauts en coton, tout ce qu'il y a de plus simple. J'en ai eu pour 25 euros en tout, mais si j'additionne les prix d'origine, le total aurait pu être de 155 euros ! Oui vous lisez bien, j'ai acheté des vêtements simples dans un magasins qui trie sa clientèle par le porte-monnaie.
Je n'ai pas pu essayer les vêtements avant achat car j'ai refusé d'utiliser les "cabines" du magasin. En effet, l'espace essayage était en fait un recoin de l'entrepôt, délimité par un grand rideau opaque, et derrière lequel plusieurs personnes peuvent se changer. Donc je n'avais pas envie d'aller essayer des vêtements parmi d'autres femmes, partageant le même espace... Je suis sûrement trop pudique pour partager ce moment-là.
Non franchement, la seule chose que je ne regrette pas, c'est que dans ces magasins pour gens riches, je taille plus grand que les clientes habituelles, et que la période de soldes est le seul moment de l'année pendant lequel je peux y acheter des vêtements, donc finalement, ce magasin est fait pour moi (!!!!). Mouais.

mardi 2 octobre 2007

Festival des vendanges

Qu'on se le dise ! Je suis d'une région viticole et j'habite en région parisienne, mais jamais loin d'un cep ! J'ai élu domicile à Suresnes dont l'histoire et la vigne ne font qu'une. Alors ce week-end ce sera l'occasion pour moi de voir à quoi ressemble une fête des vendanges hors terroir viticole de renom.
De toute façon vu que ça se passe à 50m de la maison, il sera difficile d'y échapper, alors que la fête commence !!

dimanche 6 mai 2007

Suresnes

Comme vous l'avez su, j'ai déménagé récemment. J'habite désormais à Suresnes, dans le département des Hauts-de-Seine, Région Ile de France.
"Nul ne sort de Suresnes qui souvent n'y revienne"












Cette ville est riche en visages ! Un village, une ville de proche banlieue parisienne, une vigne, un tramway, de la verdure, des marchés de proximité, et des côtes ! Les visages sont de toutes les couleurs, les sourires de toutes les cultures, et le climat y est plutôt bon (remarquez en 2 mois de printemps... c'est normal).

Le site officiel donne envie d'y habiter, ça tombe bien !