mardi 16 novembre 2010
vendredi 4 juin 2010
jeudi 25 mars 2010
Perd pas la boule !
A la pétanque, il faut prendre les points en plaçant ses boules au plus près du cochonnet. A la boule de fort, il faut s'approcher du "boulot", une boule blanche, parfaitement ronde.
A la pétanque, les boules sont rondes.

A la pétanque, vous lancez la boule... A la boule de fort il faut la déposer. Mettons-nous en situation. Nous sommes au bout du jeu, derrière la ligne blanche, accroupi un pied en avant. La main en avant, dans laquelle est posée la boule. Il faut placer les doigts en dessous, à plat, et le pouce sur le côté. La main est presque posée au sol. On lève la pointe des doigts, puis on l'abaisse. Ça a pour effet de déposer la boule sur la piste. Ce jeu se joue dans la lenteur. Contrairement à la pétanque, vous avez largement le temps de jouer et de marcher jusqu'à l'autre bout de la piste pour voir ce que ça donne, et attendre l'arrivée de votre boule. En revanche, si vous souhaitez dégommer la boule d'un autre joueur, à la manière de la pétanque vous pouvez tirer. Je n'ai pas essayé mais je pense qu'il faut savoir être particulièrement précis !

mardi 10 novembre 2009
Concert de gospel en vue !

Entrée : 10 € sur place
7€ sur Billet Réduc
1 consommation exigée
vendredi 30 octobre 2009
On se fait une toile ?
Et si on parlait cinéma ?
Ou plutôt parlons cinéblog, blog sur le cinéma. Vous avez suivi les aventures de Cinémation-magazine, vous vous demandez ce qui lui est arrivé... Eh bien la vie est ainsi faite. Quand on fait partie d'un groupe on a le choix entre plusieurs attitudes. Pour n'en citer que deux : vous vous investissez parce que ça vous plaît, ou bien vous êtes content d'en faire partie mais ne pouvez/voulez pas trop vous investir dedans. Quand il s'agit d'un petit groupe, la moindre défaillance fait vaciller le reste des membres, et peut entraîner à sa perte.
Cinémation-magazine était un site sur le cinéma, géré par quelques jeunes investis dans diverses activités, et qui ont eu des soucis de calendriers, plus ou moins compatibles. Une partie de ce groupe a préféré se retirer des aventures pour se consacrer à d'autres activités, et se disperser le moins possible. D'autres ont souhaité continuer l'aventure mais sous une autre forme, avec une autre organisation. Et de ce souhait est né un blog. Cinémation-Magazine disparaîtra dans les prochains jours, mais vous pouvez d'ores-et-déjà retrouver Les Plumes du cinéma pour y lire des actus, des infos, des critiques...
Je fais partie de l'équipe des Plumes et je vous souhaite bonne lecture de ce nouveau blog.
Vous pouvez y laisser des commentaires, votre avis sur un billet, ou votre impression sur un film. Vous pouvez vous abonner au fil RSS afin d'être avisé de chaque nouveau billet, enfin c'est un blog quoi !
lundi 26 octobre 2009
Qu'est-ce qu'on mange ?
Oh c'est facile, il y a bien une 10aine d'idées qui reviennent mais sinon, pour changer, que faire d'autre à manger ?
J'interroge mon petit mari sur ses envies, qui reviennent régulièrement à la liste des 10 idées habituelles, et puis mes envies à moi...
Et puis j'ai aussi une botte jusque là secrète : le site marmiton.org
Ce site est vraiment astucieux. Il dit recenser plus de 46 500 recettes, et propose des tours de main, des astuces à connaître quand on veut varier les plaisirs. Vous pouvez chercher une recette par son nom, par son niveau de difficulté, par son coût, par la note moyenne que les internautes lui ont donnée, ou bien par les ingrédients qui la composent.
Ainsi, si dans votre frigo vous avez des oeufs et des lardons par exemple... On vous proposera les recettes suivantes : soufflé au riz et aux lardons, salade composée aux noisettes et fines herbes, gâteau d'épinards, omelette aux lardons, terrine de citrouille, gratin de chou au reblochon, galette de pommes de terre et poitrine fumée, etc...
Alors ? Qu'est-ce qu'on mange ?
vendredi 21 novembre 2008
Sacré remue méninge !
Eh bien je vous répond : non non point d'abandon, juste un certain manque de temps. Outre le fait que chaque jour n'est toujours composé que de 24h eh
Je sors du domicile conjugal plus de 10 heures par jour pour subvenir en partie aux besoins du ménage (je compte les temps de transport et je ne parviens toujours pas à les réduire ceux-là, au contraire !!). A côté de cela je m'évertue à entretenir une vie sociale active en allant faire vibrer mes cordes vocales parmi d'autres gospelleurs et puis je me suis lancé un défi : suivre plus de 3 séances de gym dans l'année, car c'est bien mon record ! Bon d'ailleurs, ça doit bien faire 6 séances que j'y vais (record battu !)

Et puis comme il me reste un peu de temps quand même, je joue à un jeu qui rend complètement dépendant : Professeur Layton et l'Etrange Village sur Nintendo DS. C'est un jeu d'énigme, très bien fait, belles images, musique discrète, humour bien placé et scénario pas mal ficelé... Alors je vous le dis, surtout ne commencez pas à y jouer, c'est très prenant !!!
A part ça ?
Pour la première fois de ma vie je peux dire que j'ai 2 ans d'expérience sur un poste, puisque ça fait deux ans aujourd'hui que j'ai signé mon contrat dans la boîte où je bosse actuellement.
Et puis demain mon couple aura 5 ans, et ça aussi c'est une première ... mais ça fait pas le même effet sur un CV ;-P
mercredi 15 octobre 2008
Gospel académie !!

Je saurai le verdict dans la semaine, par mail, normalement.
J'ai hâte de les rejoindre. Je croise tous mes doigts... et chante I praise you en attendant :-D
samedi 16 août 2008
La musique vous manque ?

En avant la musique !
dimanche 27 juillet 2008
Topissime !

le souci du détail dans les décors , le choix des couleurs qui respecte les traditions de la Chine ancestrale ; l’impressionnant travail de graphisme sur le rendu des matières et sur les séquences de bagarre.
Pour les petits c’est un joli film avec une histoire sympa et beaucoup d’humour, et pour les plus grands le film est porteur d’un message plus profond.
Kung Fu Panda est une belle leçon de tolérance, d’acceptation des différences et qui encourage à croire en ses rêves. Le parcours de Po est un voyage spirituel, un parcours initiatique qui rappelle quelques contes d’Extrême-Orient.
Décidément, il n’y a pas de doute, DreamWorks a tout compris. Chaque film est un régal, on se laisse séduire par chaque création du studio. Trop facile ?!
Cécile Guthleben
Et j'approuve !
Sans trop en dévoiler, il y a des répliques déjà cultes, je n'en citerai qu'une > "on ne facture pas la topicitude, ni la séductivité"
et puis une autre réplique, qui sera surement moins culte, m'a touchée, parce que j'ai déjà entendu ça quelque part :
"Hier est derrière, demain est un mystère, aujourd'hui est un cadeau, c'est pourquoi on l'appelle le présent" Ok ça fait cucul, mais j'aime !
Prochain film d'animation attendu : Wall-E, il sort demain.
lundi 12 mai 2008
Cinémation de mai

Notez que ce mois-ci ma petite contribution n'a pas été au niveau de la correction générale (vacances obligent) mais dans la rédaction d'un billet, rendez-vous page Festivals.
Bonne lecture !
dimanche 27 janvier 2008
La rue de la guitare
Il y a la rue Montgallet où toute personne cherchant un conseil en informatique mais surtout à acheter de l'informatique, trouvera son bonheur. Eh bien hier j'ai découvert la rue de Douai, dans le 9è, qui est totalement dédiée, non seulement à la musique, mais à la guitare !
Vous descendez métro Pigalle, vous esquivez les lieux de joie, et vous arrivez dans la rue de Douai. Vous ne pouvez pas marcher 10 mètres sans croiser un quidam avec un étui ou une housse à guitare, ni voir une vitrine sans instrument à cordes.
Je n'avais jamais vu autant de guitares au mètre carré !

En tout cas je suis ravie, on y allait pour mon cadeau d'anniv (en avance) et nous ne sommes pas repartis les mains vides, et j'ai même réussi à me trouver des partoches de piano ! Youhou !
A nos cordes !
samedi 10 novembre 2007
Entre temps qui passe et gratuité
jeudi 27 septembre 2007
L'amour de deux hommes

Quel régal !
Courrez-y !!

mercredi 12 septembre 2007
Dom Juan - Le Festin de pierre

Assistante à la mise en scène : Keti Irubetagoyena
Collaboration artistique : Jean-Luc Revol, Pierre Cassignard
Distribution : Philippe Torreton, Jean Paul Farré, Yann Burlot, Caroline Charléty, Nicolas Chupin, Sophie Charlotte Husson, Stéphan Jones, Serge Maillat, Florence Muller, Maximilien Muller
Décors : Alain Chambon
Costumes : Bonnie Colin
Lumières : Bertrand Couderc
Son : Eric Neveux
J'ai eu le plaisir ce soir d'assister à la première de cette superbe pièce. Nous verrons demain ce que les critiques en diront, mais moi je suis emballée ! Une mise en scène parfaite, des décors simples mais justes, des costumes superbes, du plus ridicule au plus raffiné, et des acteurs précis, doués, leurs intentions tellement naturelles, ils ne jouent pas, ils sont les personnages !
Les effets spéciaux spectaculaires. Et la salle !!!! Le théâtre Marigny, sur les Champs Elysées, propriété de Robert Hossein ! S'il vous plaît !
En plus le mercredi la représentation commence à 19h pour permettre au public de débattre avec les acteurs ensuite. Philippe Torreton nous a dit avoir mis 18 ans à monter ce projet. Il faut dire que cette pièce a tellement été censurée qu'à ce jour il y a un doute sur l'authenticité de 10% du texte joué aujourd'hui. Et puis il s'est imprégné de ce rôle de Dom Juan, de chaque personnage pour pouvoir les définir et diriger ses partenaires.
Remarquable travail en effet, et le public a tellement applaudi ! La salle était pleine, les rappels n'ont pas cessé (et pourtant ils n'ont pas chanté de chanson supplémentaire ... comprends pas !)
Et Monsieur Jean-Paul Farré, vous êtes court sur pattes mais vous êtes un grand bonhomme, votre Sganarelle est un vrai plaisir à voir évoluer sur ce plateau de bois.
Bon, je ne peux pas taire que comme c'était une première j'ai vu des personnes plus ou moins connues......... La finaliste des présidentielles, un chanteur (J'veux pas y'aller à ce dîner, j'ai pas l'moral, j'suis fatigué, ils nous en voudront pas, allez on n'y va pas.) et un dénicheur de talents enrobé et sossoteur.... Alors ? des noms ? Eh oui m'sieur dame, je ne sors pas n'importe où ! :-)
Merci Emilie ! Et vive le 20 Minutes !! ;-)
Ajout du 17/09 :
Les premières critiques arrivent sur le net. Je ne les approuve pas, vous comprendrez pourquoi. Mais vous pouvez lire une dépêche AFP qui n'invite pas au rêve.
Les décors d'Alain Chambon, déjà, ne concourent pas beaucoup au succès de l'entreprise. [...] le premier acte ouvre une piste intéressante, malheureusement sans suite [...] la forêt (acte III) où le héros fuit et l'intérieur de sa demeure (acte IV), sans perspective, font vraiment très carton-pâte. [...] Sophie-Charlotte Husson, trop neutre dans ce rôle de femme bafouée. [...] Même Jean-Paul Farré, dans la peau du serviteur Sganarelle craintif et superstitieux, pourra décevoir, tant son immense talent burlesque paraît ici bridé. [...]Une esthétique de "théâtre à machines" flirtant avec le gros "son et lumière"D'ailleurs, je n'avais jamais remarqué comme il est aisé pour un journaliste de se cacher derrière l'intitulé "AFP" pour balancer une info de façon absolument partiale ...
Ajout du 20/09 :
Torreton humanise Dom JuanParu dans Le Monde en ligne le 21/09 (en fait 3 lignes d''avis, et le reste de faits neutres.... Soyons aussi critiques avec les critiques, na !) :
Philippe Torreton en Dom Juan ? Pourquoi pas. Mais pour sa première mise en scène, à 41 ans, l'ancien pensionnaire de la Comédie-Française [qu'il a quittée en 1999] s'est attaqué à un gros morceau. D'autant que cette pièce a « tellement été censurée que personne ne peut affirmer l'avoir jouée dans son intégralité ». Intrigué autant qu'attiré par le séducteur invétéré de Molière, qu'il interprète également, Torreton veut imposer « une véritable prise de conscience » à « ce petit con », comme l'a un jour appelé affectueusement Michel Bouquet. C'est chose faite. Dom Juan, au début désinvolte et ridicule sous sa perruque grotesque, est progressivement mis à nu, moralement et physiquement, avant de finir dans l'angoisse et le dénuement. Il se débarrasse de ses artifices pendant que le décor, fastueux dans le premier acte, est réduit à une table au milieu du parquet incliné, au dernier acte. Les jeux de son et de lumière, tour à tour assourdissants ou aveuglants, donnent du relief aux tourments du personnage, et des trucages utilisés avec parcimonie amplifient l'effet de dépouillement. Le choix de Jean-Paul Farré, moins facétieux que prévu en Sganarelle scandalisé par l'attitude de son maître, accentue encore le contraste entre morale et culpabilité. Emilie Chamoreau
Noir "Dom Juan" de Philippe Torreton
Et voilà Dom Juan, grand seigneur libertin du XVIIe siècle mais aussi précurseur des esprits libres-penseurs du XVIIIe siècle, prêt à tout renier pour ne pas se renier lui-même, au Théâtre Marigny, à Paris. La mise en scène de Philippe Torreton, qui interprète le rôle, est d'un classicisme vertueux digne de la Comédie-Française qu'il a quittée bruyamment en 1999, mais son interprétation du personnage de Molière fixe l'attention.A vrai dire, ça commence mal : si le couplet sur les vertus du tabac prononcé par Sganarelle (Jean-Paul Farré) devant une inscription Vietato fumare, fait sourire, la première apparition de Torreton, sous une absurde perruque blondasse, fardé de blanc, les joues rougies comme celles d'une mère maquerelle, fagoté dans un costume de général romain d'opérette, est si ridicule qu'on oublie de l'écouter.
Mais dès la scène suivante, dans une ambiance de grisaille (décor, costumes) qui fonce au fur et à mesure, le ton change, de plus en plus amer et noir. La mort rôde, le corps blafard d'un pendu surgit au détour d'un chemin, un crâne est posé sur un bureau, des taches de sang maculent les mouchoirs, la statue du Commandeur prend la forme d'une lumière fulgurante qui aveugle les spectateurs. Sganarelle en perd tout sens de l'humour, affolé, atterré, cherchant en vain à remettre son maître sur le droit chemin, non par tendresse mais par peur.
Quant à Dom Juan, il s'enferre, non pas à la recherche du plaisir, mais dans son insolence, en une marche en avant désespérée vers le destin qui va le broyer. Torreton s'est fait la tête de Molière (qui jouait Sganarelle), bravant l'assistance, les hypocrites et les dévots, après le scandale provoqué par Tartuffe. Martine Silber
jeudi 23 août 2007
Un essai transformé !
Chacun arrive, se lave les mains, reçoit son magnifique tablier jetable, et zou ! L'atelier commence ! Chacun fait de son mieux avec les conseils du chef, dans une vraie cuisine. Rien à voir avec Ratatouille, pas l'ambiance des cuisines au moment du coup de feu, mais c'est tant mieux, on peut se concentrer à la préparation.
Ensuite, à table ! une table longue où nous pouvons loger à 20 je pense. On peut manger des choses en plus ! Ben oui, pas le temps de faire un dessert mais comme le chef nous aime déjà il en a préparé pour nous ;-)
Evidemment, l'Atelier des Chefs c'est aussi une boutique de produits à tous prix pour faire à la maison ce qu'on a appris.... ou pour nous donner l'envie de revenir même sans rien cuisiner.
A qui le tour ?
Il en existe 4 à Paris, un à Bordeaux, un à Lyon et un à Bruxelles.
PS : bon c'était pas le chef Sébastien Dagoneau mais Grégoire Dettaï, mais je dois reconnaître que sans connaître le premier j'ai trouvé le second très pédagogue, ça ne gache rien !
La recette !
Wok de poulet sauté aux légumes et sésame
Pour 6 personnes :
6 filets de volaille, 3 cl d'huile d'olive, 1 grosse courgette, 200 g de pois gourmands, 3 oignons nouveaux, 200 g de pousses de soja, 40 g de sésame, 3 cl de sauce soja, 1/4 de botte de coriandre, un trait d'huile de sésame
Tailler les filets de volailles en 8 morceaux, Canneler la courgette, la couper en deux et l'émincer finement. Tailler les pois gourmands en fine julienne. Séparer la cive (partie verte) de l'oignon blanc. Emincer le tout. Effeuiller la coriandre (séparer la tige des feuilles). Faire sauter les morceaux de poulet dans le wok avec un peu d'huile d'olive. Assaisonner de sel. Ajouter l'oignon blanc puis réserver dès qu'ils commencent à colorer. Dans le même wok ajouter les poids gourmands et les courgettes, déglacer avec un petit verre d'eau, couvrir et laisser 5 minutes.
Ajouter le soja, le sésame, la sauce soja, la cive et assaisonner de sel et poivre du moulin. Cuire 2 minutes en remuant, remettre le poulet, finir de cuire 1 minute. Rectifier l'assaisonnement.
Servir avec quelques peluches de coriandre.
mardi 21 août 2007
Récréation

C'est un jeu pour petits et grands, qui assure une bonne partie de rire, mais attention aux griffures, coups et émeutes !!!
Sur le site du jeu voici la description qui donne le ton :
Il y a fort longtemps, les membres de la tribu Aboulou vivant dans les moites et tropicales forêts de la lointaine Spidopotamie inventèrent une sorte de jeu rituel servant à déterminer qui des guerriers empocherait les meilleurs morceaux du mammouth fraîchement tué.
Grâce à l'abnégation des archéologues, ce jeu est parvenu jusqu'à nous et il vous est maintenant possible de l'acquérir, pour ainsi perpétuer la tradition Aboulou, et partager à votre avantage le gigot du dimanche chez belle-maman.
A mettre d'urgence entre toutes les mains !!!!

Et pour Maïwenn....... Vive le Uno !!
Après tu peux aussi dire "Uno!" quand tu n'as plus qu'une carte au Jungle Speed ! (ce que fait régulièrement Margoo............ :-D chuuuuuut! on balance pas hein !)
samedi 4 août 2007
Ratatoooouuuuuille !
Depuis bien longtemps un film de Disney ne m'avait pas autant plu, je suis ressortie guillerette de la séance.
Ce film, Ratatouille, est le dernier né de chez Disney/Pixar et c'est vraiment une réussite.
Bon c'est vrai que j'ai pu le voir dans la salle du Dome de la Défense (la salle est dans la boule) mais quand même.
J'ai bien ri, j'ai eu peur, j'ai été émue. Un bon film comme je n'en avais pas vu depuis longtemps. Le rat Rémi est vraiment attachant, mais pas seulement !
Allez-y ! Avec les enfants à partir de 6 ans (qu'ils disent mais il faut que l'enfant tienne assis 1h50 aussi!)

