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mardi 16 novembre 2010

vendredi 4 juin 2010

jeudi 25 mars 2010

Perd pas la boule !

Au détour d'un petit séjour en famille, j'ai eu la grande chance de rencontrer un sport particulier : la boule de fort ! Vous connaissez ?
Si on veut aller vite, on dira que c'est un jeu de pétanque avec des boules pas rondes et un terrain pas plat. Mais franchement, c'est un énorme raccourci. Je peux maintenant témoigner que ce n'est pas si simple.
Le jeu des différences
Déjà, avant de commencer à jouer, il vous faudra chausser les charentaises avant d'accéder au jeu. Le jeu, c'est le nom du terrain. Pas de terre battue ici, mais une piste longue d'une 20aine de mètres, large de 6 à 7 mètres, en forme de grande gouttière. Du coup, si vous jouez sur l'un des côtés, votre boule repartira vers le côté opposé.
A la pétanque, il faut prendre les points en plaçant ses boules au plus près du cochonnet. A la boule de fort, il faut s'approcher du "boulot", une boule blanche, parfaitement ronde.
A la pétanque, les boules sont rondes. Mais à la boule de fort c'est moins simple. Les boules sont aussi rondes, mais aplaties sur deux côtés. Elles sont en bois, ou en plastique, cerclées de métal. Le cercle n'est pas plat, mais suit la courbe de la boule. Les côtés de la boule sont différents, l'un est plus lourd que l'autre, plus fort (d'où le nom). De ce fait, quand vous jouez la boule sur un axe droit, elle partira forcément vers le côté fort. Donc il faut réfléchir si vous mettez le fort à droite ou à gauche.
A la pétanque, vous lancez la boule... A la boule de fort il faut la déposer. Mettons-nous en situation. Nous sommes au bout du jeu, derrière la ligne blanche, accroupi un pied en avant. La main en avant, dans laquelle est posée la boule. Il faut placer les doigts en dessous, à plat, et le pouce sur le côté. La main est presque posée au sol. On lève la pointe des doigts, puis on l'abaisse. Ça a pour effet de déposer la boule sur la piste. Ce jeu se joue dans la lenteur. Contrairement à la pétanque, vous avez largement le temps de jouer et de marcher jusqu'à l'autre bout de la piste pour voir ce que ça donne, et attendre l'arrivée de votre boule. En revanche, si vous souhaitez dégommer la boule d'un autre joueur, à la manière de la pétanque vous pouvez tirer. Je n'ai pas essayé mais je pense qu'il faut savoir être particulièrement précis !
J'ai adoré être initiée par des gens adorables, sur 3 générations. Ce sport est régional, typique de l'Anjou, en l'occurrence j'étais à Saint-Hilaire-Saint-Florent, à côté de Saumur (Maine-et-Loire).

mardi 10 novembre 2009

Concert de gospel en vue !

Au Swan Bar, 165 bd du Montparnasse - 75006 Paris - Métro Vavin / Raspail
Entrée : 10 € sur place
7€ sur Billet Réduc
1 consommation exigée

vendredi 30 octobre 2009

On se fait une toile ?

Ces jours-ci j'aurais de quoi râler contre la société Orange / France Telecom et sa façon de prendre en compte les demandes de ses clients, mais bon, mon médecin m'a demandé d'éviter le stress et de rester zen, alors on va se calmer et parler d'autre chose.
Et si on parlait cinéma ?
Ou plutôt parlons cinéblog, blog sur le cinéma. Vous avez suivi les aventures de Cinémation-magazine, vous vous demandez ce qui lui est arrivé... Eh bien la vie est ainsi faite. Quand on fait partie d'un groupe on a le choix entre plusieurs attitudes. Pour n'en citer que deux : vous vous investissez parce que ça vous plaît, ou bien vous êtes content d'en faire partie mais ne pouvez/voulez pas trop vous investir dedans. Quand il s'agit d'un petit groupe, la moindre défaillance fait vaciller le reste des membres, et peut entraîner à sa perte.
Cinémation-magazine était un site sur le cinéma, géré par quelques jeunes investis dans diverses activités, et qui ont eu des soucis de calendriers, plus ou moins compatibles. Une partie de ce groupe a préféré se retirer des aventures pour se consacrer à d'autres activités, et se disperser le moins possible. D'autres ont souhaité continuer l'aventure mais sous une autre forme, avec une autre organisation. Et de ce souhait est né un blog. Cinémation-Magazine disparaîtra dans les prochains jours, mais vous pouvez d'ores-et-déjà retrouver Les Plumes du cinéma pour y lire des actus, des infos, des critiques...
Je fais partie de l'équipe des Plumes et je vous souhaite bonne lecture de ce nouveau blog.
Vous pouvez y laisser des commentaires, votre avis sur un billet, ou votre impression sur un film. Vous pouvez vous abonner au fil RSS afin d'être avisé de chaque nouveau billet, enfin c'est un blog quoi !

lundi 26 octobre 2009

Qu'est-ce qu'on mange ?

Je suis comme beaucoup d'entre vous. Je dois manger plusieurs fois par jour. En plus, je suis la personne qui gère principalement les menus et la confection des repas à la maison. Alors il revient une question récurrente ... que faire à manger ?
Oh c'est facile, il y a bien une 10aine d'idées qui reviennent mais sinon, pour changer, que faire d'autre à manger ?
J'interroge mon petit mari sur ses envies, qui reviennent régulièrement à la liste des 10 idées habituelles, et puis mes envies à moi...
Et puis j'ai aussi une botte jusque là secrète : le site marmiton.org
Ce site est vraiment astucieux. Il dit recenser plus de 46 500 recettes, et propose des tours de main, des astuces à connaître quand on veut varier les plaisirs. Vous pouvez chercher une recette par son nom, par son niveau de difficulté, par son coût, par la note moyenne que les internautes lui ont donnée, ou bien par les ingrédients qui la composent.
Ainsi, si dans votre frigo vous avez des oeufs et des lardons par exemple... On vous proposera les recettes suivantes : soufflé au riz et aux lardons, salade composée aux noisettes et fines herbes, gâteau d'épinards, omelette aux lardons, terrine de citrouille, gratin de chou au reblochon, galette de pommes de terre et poitrine fumée, etc...
Alors ? Qu'est-ce qu'on mange ?

vendredi 21 novembre 2008

Sacré remue méninge !

Je sens votre inquiétude poindre : mais pourquoi diable Léti ne poste-t-elle plus rien sur son blog ? L'a-t-elle abandonné ? Fichtre ! Comme cela me semble étrange !
Eh bien je vous répond : non non point d'abandon, juste un certain manque de temps. Outre le fait que chaque jour n'est toujours composé que de 24h eh bien je dois ici l'avouer, mon emploi du temps commence à être serré.
Je sors du domicile conjugal plus de 10 heures par jour pour subvenir en partie aux besoins du ménage (je compte les temps de transport et je ne parviens toujours pas à les réduire ceux-là, au contraire !!). A côté de cela je m'évertue à entretenir une vie sociale active en allant faire vibrer mes cordes vocales parmi d'autres gospelleurs et puis je me suis lancé un défi : suivre plus de 3 séances de gym dans l'année, car c'est bien mon record ! Bon d'ailleurs, ça doit bien faire 6 séances que j'y vais (record battu !)
A côté de cela je suis toujours bien occupée par mon activité de SR (Secrétaire de Rédaction ou Super CoRRectrice) de Cinemation Magazine. Il se trouve que le magazine à lire en ligne se transforme en site internet. Vous pouvez le (re-)voir dans son premier jus à cette adresse mais il sera bientôt tout beau tout joli, début 2009. Cela dit le contenu est déjà fort intéressant et le restera.
Et puis comme il me reste un peu de temps quand même, je joue à un jeu qui rend complètement dépendant : Professeur Layton et l'Etrange Village sur Nintendo DS. C'est un jeu d'énigme, très bien fait, belles images, musique discrète, humour bien placé et scénario pas mal ficelé... Alors je vous le dis, surtout ne commencez pas à y jouer, c'est très prenant !!!

A part ça ?
Pour la première fois de ma vie je peux dire que j'ai 2 ans d'expérience sur un poste, puisque ça fait deux ans aujourd'hui que j'ai signé mon contrat dans la boîte où je bosse actuellement.
Et puis demain mon couple aura 5 ans, et ça aussi c'est une première ... mais ça fait pas le même effet sur un CV ;-P

mercredi 15 octobre 2008

Gospel académie !!

Comme je le disais il y a quelques jours, j'ai pu rejoindre un choeur gospel lundi soir. Mais je ne sais pas encore si je suis adoptée, car devant son succès il a dû auditionner les candidats et comme choisir c'est exclure . . . .
Je saurai le verdict dans la semaine, par mail, normalement.
J'ai hâte de les rejoindre. Je croise tous mes doigts... et chante I praise you en attendant :-D

samedi 16 août 2008

La musique vous manque ?

Dans les liens que vous pouvez trouver dans la colonne de droite il y avait RadioBlog. Mais depuis un moment ce lien renvoie à une page qui nous demande de patienter pendant qu'ils trouvent d'autres solutions pour ne pas léser les auteurs -- je vous rappelle que RadioBlog permettait de partager de la musique, et d'en écouter en ligne, sans télécharger. Mais pour autant il y avait partage, sans profit pour les auteurs. Mais à force de patienter sans musique, j'ai cherché autre chose. Et je suis passée à Deezer. Donc dans la colonne vous ne trouverez plus RadioBlog, mais Deezer. Je ferai sûrement une note à propos de Deezer prochainement.
En avant la musique !

PS : peut-être connaissez-vous d'autres site d'écoute de musique en ligne ? Merci de nous donner vos liens.

dimanche 27 juillet 2008

Topissime !


Cinemation l'avait bien noté, j'ai voulu le juger par moi-même : Kung Fu Panda est un très bon film d'animation. Cécile écrivait ceci (Cinemation n°5)

le souci du détail dans les décors , le choix des couleurs qui respecte les traditions de la Chine ancestrale ; l’impressionnant travail de graphisme sur le rendu des matières et sur les séquences de bagarre.
Pour les petits c’est un joli film avec une histoire sympa et beaucoup d’humour, et pour les plus grands le film est porteur d’un message plus profond.
Kung Fu Panda est une belle leçon de tolérance, d’acceptation des différences et qui encourage à croire en ses rêves. Le parcours de Po est un voyage spirituel, un parcours initiatique qui rappelle quelques contes d’Extrême-Orient.
Décidément, il n’y a pas de doute, DreamWorks a tout compris. Chaque film est un régal, on se laisse séduire par chaque création du studio. Trop facile ?!
Cécile Guthleben

Et j'approuve !

Sans trop en dévoiler, il y a des répliques déjà cultes, je n'en citerai qu'une > "on ne facture pas la topicitude, ni la séductivité"
et puis une autre réplique, qui sera surement moins culte, m'a touchée, parce que j'ai déjà entendu ça quelque part :
"Hier est derrière, demain est un mystère, aujourd'hui est un cadeau, c'est pourquoi on l'appelle le présent" Ok ça fait cucul, mais j'aime !

Prochain film d'animation attendu : Wall-E, il sort demain.

lundi 12 mai 2008

Cinémation de mai

Comme tous les mois je vous invite à lire le magazine cinéma Cinémation. Vous pourrez désormais le retrouver en ligne sur le site Cinemation.
Notez que ce mois-ci ma petite contribution n'a pas été au niveau de la correction générale (vacances obligent) mais dans la rédaction d'un billet, rendez-vous page Festivals.
Bonne lecture !

dimanche 27 janvier 2008

La rue de la guitare

Paris est incroyable, et ce dans divers domaines. Comme vous le savez surement il existe des quartiers "à thème", on pensera au quartier chinois par exemple, dans lequel on pourrait oublier dans quel pays on se trouve. Il y a aussi les grands boulevards, le quartier de l'Opéra où toutes les banques sont établies, il y a aussi des quartiers où on trouve uniquement des restau italiens, ou franchouillards, ou des théâtres...
Il y a la rue Montgallet où toute personne cherchant un conseil en informatique mais surtout à acheter de l'informatique, trouvera son bonheur. Eh bien hier j'ai découvert la rue de Douai, dans le 9è, qui est totalement dédiée, non seulement à la musique, mais à la guitare !
Vous descendez métro Pigalle, vous esquivez les lieux de joie, et vous arrivez dans la rue de Douai. Vous ne pouvez pas marcher 10 mètres sans croiser un quidam avec un étui ou une housse à guitare, ni voir une vitrine sans instrument à cordes.
Je n'avais jamais vu autant de guitares au mètre carré !
En tout cas je suis ravie, on y allait pour mon cadeau d'anniv (en avance) et nous ne sommes pas repartis les mains vides, et j'ai même réussi à me trouver des partoches de piano ! Youhou !
A nos cordes !

samedi 10 novembre 2007

Entre temps qui passe et gratuité

En ce moment côté informatique je suis en phase de découverte, voire de préparation à la découverte de deux "monstres" du Net : je cite Ubuntu et Facebook. Rien d'original pour le deuxième puisqu'à entendre les média "tout le monde est sur Facebook" et c'est pas complètement faux.

C'est un espace communautaire comme on en trouve déjà beaucoup trop. Mais cette fois il ne s'arrête pas aux pré-ados qui cherchent leurs copains de colo, ou aux jeunes adultes qui se demandent ce que leurs potes de collège ont fait de leur vie.... On touche toutes les tranches d'âges, essentiellement les adultes quand même (pour ce que j'en ai vu) et toutes sortes de motivations : le réseau pro pour pouvoir développer les contacts et donc les affaires potentielles, le réseau amical - les amis de mes amis seront aussi mes amis - mais aussi les réseaux par affinités (groupes politiques, engagés, dégagés, fan de tel artiste, ou collectif en tous genres.... je n'en cite aucun pour ne trahir aucun de mes contacts ;-) ) En ce moment on y trouve aussi bien des collectifs d'étudiants bloqueurs de facs que des anti-grève des transports du 13 novembre, des comités de soutien à Ingrid B. que des groupes militant pour le retour de Philippe Risoli, et puis il y a des groupes loisirs, généalogie, tricot, sports mécaniques, etc.... Finalement on pourrait résumer (avec un énorme raccourci c'est vrai) en disant que Facebook c'est comme dans la vraie vie .... oui on pourrait....
Perso j'y ai trouvé mes collègues, et je commence à retrouver des amis de la Fac mais tout le monde ne connait pas encore Facebook et en plus il est en anglais. Donc ça freine un peu les moins motivés. D'ailleurs mes amis retrouvés je vous embrasse.
Bon c'est vrai que ça fait bizarre de voir que les gens qu'on a croisés ont aussi continué leur route. Quoi ? elle s'est mariée elle ? Ah ben oui, moi aussi, ça peut arriver à des gens bien :-D

A côté de ça je cherche à découvrir Ubuntu aussi, mais là c'est plus compliqué....
Ubuntu pour ceux qui ne connaissent pas, c'est un remplaçant possible de Windows, mais c'est gratuit. Pas besoin de payer une licence, et c'est adaptable autant qu'on le souhaite, à condition toutefois de se débrouiller un peu avec l'ordi et avec le code informatique.... mais bon, je tente le truc, sur un malentendu ça pourrait me convenir. Et puis je trouve plutôt sympathique l'idée de pouvoir utiliser légalement et gratuitement des alternatives aux grands monopoles (Windows, Internet Explorer (que je remplace par Mozilla Firefox, bien plus rapide en plus), etc...).

Dans le principe on demande sur le site l'envoi gratuit du CD d'installation et ensuite.... ben on installe.... oui enfin bon moi j'y arrive pas encore. J'ai récupéré un CD gravé par un ami (big up Wiki !) et .... ben rien.... mais vous me connaissez (ou pas) je suis tétue persévérante, alors je n'ai pas encore dit mon dernier mot (Jean-Pierre). Allez, je retourne à mes tentatives.

jeudi 27 septembre 2007

L'amour de deux hommes


Quel régal !
J'ai eu le plaisir d'aller voir jouer la pièce de Sacha Guitry Mon père avait raison au théâtre parisien Edouard VII. Déjà le cadre vaut le déplacement, ensuite la distribution valait la peine : les Brasseur père et fils !
La pièce en elle-même est extra, parfois drôle avec des répliques qu'on attend, efficaces, et parfois émouvante avec des silences, des moments forts. Claude Brasseur, avec sa voix incomparable sa préstance, son oeil malicieux... époustoufflant ! Et Alexandre Brasseur... Je dois dire qu'il n'arrive pas à la mi-hauteur de son père, mais le pauvre ! Avec un père pareil la barre est haute ! Le public était plutôt âgé et la mamie assise à côté de moi me demandait "qu'est-ce qu'il a dit ?" assez souvent. Et pour ma part c'est vrai que je trouvais parfois son débit trop rapide. Les rôles féminins sont vraiment superbes ! Les mots que Guitry leur a donnés ne les aident pas toujours mais là c'est mon côté féminin qui s'éxprime ! ;-) Chloé Lambert et Manoëlle Gaillard, quelle pêche !!

Courrez-y !!


mercredi 12 septembre 2007

Dom Juan - Le Festin de pierre

Mise en scène : Philippe Torreton
Assistante à la mise en scène : Keti Irubetagoyena
Collaboration artistique : Jean-Luc Revol, Pierre Cassignard
Distribution : Philippe Torreton, Jean Paul Farré, Yann Burlot, Caroline Charléty, Nicolas Chupin, Sophie Charlotte Husson, Stéphan Jones, Serge Maillat, Florence Muller, Maximilien Muller
Décors : Alain Chambon
Costumes : Bonnie Colin
Lumières : Bertrand Couderc
Son : Eric Neveux

J'ai eu le plaisir ce soir d'assister à la première de cette superbe pièce. Nous verrons demain ce que les critiques en diront, mais moi je suis emballée ! Une mise en scène parfaite, des décors simples mais justes, des costumes superbes, du plus ridicule au plus raffiné, et des acteurs précis, doués, leurs intentions tellement naturelles, ils ne jouent pas, ils sont les personnages !
Les effets spéciaux spectaculaires. Et la salle !!!! Le théâtre Marigny, sur les Champs Elysées, propriété de Robert Hossein ! S'il vous plaît !
En plus le mercredi la représentation commence à 19h pour permettre au public de débattre avec les acteurs ensuite. Philippe Torreton nous a dit avoir mis 18 ans à monter ce projet. Il faut dire que cette pièce a tellement été censurée qu'à ce jour il y a un doute sur l'authenticité de 10% du texte joué aujourd'hui. Et puis il s'est imprégné de ce rôle de Dom Juan, de chaque personnage pour pouvoir les définir et diriger ses partenaires.
Remarquable travail en effet, et le public a tellement applaudi ! La salle était pleine, les rappels n'ont pas cessé (et pourtant ils n'ont pas chanté de chanson supplémentaire ... comprends pas !)
Et Monsieur Jean-Paul Farré, vous êtes court sur pattes mais vous êtes un grand bonhomme, votre Sganarelle est un vrai plaisir à voir évoluer sur ce plateau de bois.
Bon, je ne peux pas taire que comme c'était une première j'ai vu des personnes plus ou moins connues......... La finaliste des présidentielles, un chante
ur (J'veux pas y'aller à ce dîner, j'ai pas l'moral, j'suis fatigué, ils nous en voudront pas, allez on n'y va pas.) et un dénicheur de talents enrobé et sossoteur.... Alors ? des noms ? Eh oui m'sieur dame, je ne sors pas n'importe où ! :-)

Merci Emilie ! Et vive le 20 Minutes !! ;-)

Ajout du 17/09 :
Les premières critiques arrivent sur le net. Je ne les approuve pas, vous comprendrez pourquoi. Mais vous pouvez lire une dépêche AFP qui n'invite pas au rêve.
Les décors d'Alain Chambon, déjà, ne concourent pas beaucoup au succès de l'entreprise. [...] le premier acte ouvre une piste intéressante, malheureusement sans suite [...] la forêt (acte III) où le héros fuit et l'intérieur de sa demeure (acte IV), sans perspective, font vraiment très carton-pâte. [...] Sophie-Charlotte Husson, trop neutre dans ce rôle de femme bafouée. [...] Même Jean-Paul Farré, dans la peau du serviteur Sganarelle craintif et superstitieux, pourra décevoir, tant son immense talent burlesque paraît ici bridé. [...]Une esthétique de "théâtre à machines" flirtant avec le gros "son et lumière"
D'ailleurs, je n'avais jamais remarqué comme il est aisé pour un journaliste de se cacher derrière l'intitulé "AFP" pour balancer une info de façon absolument partiale ...

Ajout du 20/09 :
Paru dans le 20 minutes :
Torreton humanise Dom Juan
Philippe Torreton en Dom Juan ? Pourquoi pas. Mais pour sa première mise en scène, à 41 ans, l'ancien pensionnaire de la Comédie-Française [qu'il a quittée en 1999] s'est attaqué à un gros morceau. D'autant que cette pièce a « tellement été censurée que personne ne peut affirmer l'avoir jouée dans son intégralité ». Intrigué autant qu'attiré par le séducteur invétéré de Molière, qu'il interprète également, Torreton veut imposer « une véritable prise de conscience » à « ce petit con », comme l'a un jour appelé affectueusement Michel Bouquet. C'est chose faite. Dom Juan, au début désinvolte et ridicule sous sa perruque grotesque, est progressivement mis à nu, moralement et physiquement, avant de finir dans l'angoisse et le dénuement. Il se débarrasse de ses artifices pendant que le décor, fastueux dans le premier acte, est réduit à une table au milieu du parquet incliné, au dernier acte. Les jeux de son et de lumière, tour à tour assourdissants ou aveuglants, donnent du relief aux tourments du personnage, et des trucages utilisés avec parcimonie amplifient l'effet de dépouillement. Le choix de Jean-Paul Farré, moins facétieux que prévu en Sganarelle scandalisé par l'attitude de son maître, accentue encore le contraste entre morale et culpabilité. Emilie Chamoreau
Paru dans Le Monde en ligne le 21/09 (en fait 3 lignes d''avis, et le reste de faits neutres.... Soyons aussi critiques avec les critiques, na !) :
Noir "Dom Juan" de Philippe Torreton
Et voilà Dom Juan, grand seigneur libertin du XVIIe siècle mais aussi précurseur des esprits libres-penseurs du XVIIIe siècle, prêt à tout renier pour ne pas se renier lui-même, au Théâtre Marigny, à Paris. La mise en scène de Philippe Torreton, qui interprète le rôle, est d'un classicisme vertueux digne de la Comédie-Française qu'il a quittée bruyamment en 1999, mais son interprétation du personnage de Molière fixe l'attention.


A vrai dire, ça commence mal : si le couplet sur les vertus du tabac prononcé par Sganarelle (Jean-Paul Farré) devant une inscription Vietato fumare, fait sourire, la première apparition de Torreton, sous une absurde perruque blondasse, fardé de blanc, les joues rougies comme celles d'une mère maquerelle, fagoté dans un costume de général romain d'opérette, est si ridicule qu'on oublie de l'écouter.

Mais dès la scène suivante, dans une ambiance de grisaille (décor, costumes) qui fonce au fur et à mesure, le ton change, de plus en plus amer et noir. La mort rôde, le corps blafard d'un pendu surgit au détour d'un chemin, un crâne est posé sur un bureau, des taches de sang maculent les mouchoirs, la statue du Commandeur prend la forme d'une lumière fulgurante qui aveugle les spectateurs. Sganarelle en perd tout sens de l'humour, affolé, atterré, cherchant en vain à remettre son maître sur le droit chemin, non par tendresse mais par peur.

Quant à Dom Juan, il s'enferre, non pas à la recherche du plaisir, mais dans son insolence, en une marche en avant désespérée vers le destin qui va le broyer. Torreton s'est fait la tête de Molière (qui jouait Sganarelle), bravant l'assistance, les hypocrites et les dévots, après le scandale provoqué par Tartuffe. Martine Silber



jeudi 23 août 2007

Un essai transformé !

Vous attendez impatiemment le verdict de mon expérience à l'atelier des chefs, je le sais, eh bien... Je suis ravie de ce test, il sent la récidive ! J'ai adoré la formule, la convivialité et la simplicité.
En fait pour tout vous raconter il faut réserver sa place, on peut choisir selon ses disponibilités mais aussi selon la formule proposée ou selon la recette prévue.
Chacun arrive, se lave les mains, reçoit son magnifique tablier jetable, et zou ! L'atelier commence ! Chacun fait de son mieux avec les conseils du chef, dans une vraie cuisine. Rien à voir avec Ratatouille, pas l'ambiance des cuisines au moment du coup de feu, mais c'est tant mieux, on peut se concentrer à la préparation.
Ensuite, à table ! une table longue où nous pouvons loger à 20 je pense. On peut manger des choses en plus ! Ben oui, pas le temps de faire un dessert mais comme le chef nous aime déjà il en a préparé pour nous ;-)
Evidemment, l'Atelier des Chefs c'est aussi une boutique de produits à tous prix pour faire à la maison ce qu'on a appris.... ou pour nous donner l'envie de revenir même sans rien cuisiner.
A qui le tour ?
Il en existe 4 à Paris, un à Bordeaux, un à Lyon et un à Bruxelles.
PS : bon c'était pas le chef Sébastien Dagoneau mais Grégoire Dettaï, mais je dois reconnaître que sans connaître le premier j'ai trouvé le second très pédagogue, ça ne gache rien !

La recette !
Wok de poulet sauté aux légumes et sésame
Pour 6 personnes :
6 filets de volaille, 3 cl d'huile d'olive, 1 grosse courgette, 200 g de pois gourmands, 3 oignons nouveaux, 200 g de pousses de soja, 40 g de sésame, 3 cl de sauce soja, 1/4 de botte de coriandre, un trait d'huile de sésame

Tailler les filets de volailles en 8 morceaux, Canneler la courgette, la couper en deux et l'émincer finement. Tailler les pois gourmands en fine julienne. Séparer la cive (partie verte) de l'oignon blanc. Emincer le tout. Effeuiller la coriandre (séparer la tige des feuilles). Faire sauter les morceaux de poulet dans le wok avec un peu d'huile d'olive. Assaisonner de sel. Ajouter l'oignon blanc puis réserver dès qu'ils commencent à colorer. Dans le même wok ajouter les poids gourmands et les courgettes, déglacer avec un petit verre d'eau, couvrir et laisser 5 minutes.
Ajouter le soja, le sésame, la sauce soja, la cive et assaisonner de sel et poivre du moulin. Cuire 2 minutes en remuant, remettre le poulet, finir de cuire 1 minute. Rectifier l'assaisonnement.
Servir avec quelques peluches de coriandre.

mardi 21 août 2007

Récréation

Connaissez-vous ce jeu : Jungle Speed ?
C'est un jeu pour petits et grands, qui assure une bonne partie de rire, mais attention aux griffures, coups et émeutes !!!
Sur le site du jeu voici la description qui donne le ton :
Il y a fort longtemps, les membres de la tribu Aboulou vivant dans les moites et tropicales forêts de la lointaine Spidopotamie inventèrent une sorte de jeu rituel servant à déterminer qui des guerriers empocherait les meilleurs morceaux du mammouth fraîchement tué.
Grâce à l'abnégation des archéologues, ce jeu est parvenu jusqu'à nous et il vous est maintenant possible de l'acquérir, pour ainsi perpétuer la tradition Aboulou, et partager à votre avantage le gigot du dimanche chez belle-maman.

A mettre d'urgence entre toutes les mains !!!!


Et pour Maïwenn....... Vive le Uno !!
Ce jeu de cartes international et intergénérationnel a été créé en 1971 !
Enfin dans le principe il s'agit ni plus ni moins du "8 américain", vieux comme le monde. Mais quand même les couleurs et les chiffres le rendent tout de suite plus convivial.
Après tu peux aussi dire "Uno!" quand tu n'as plus qu'une carte au Jungle Speed ! (ce que fait régulièrement Margoo............ :-D chuuuuuut! on balance pas hein !)

samedi 4 août 2007

Ratatoooouuuuuille !

A voir d'urgence !
Depuis bien longtemps un film de Disney ne m'avait pas autant plu, je suis ressortie guillerette de la séance.
Ce film, Ratatouille, est le dernier né de chez Disney/Pixar et c'est vraiment une réussite.
Bon c'est vrai que j'ai pu le voir dans la salle du Dome de la Défense (la salle est dans la boule) mais quand même.
J'ai bien ri, j'ai eu peur, j'ai été émue. Un bon film comme je n'en avais pas vu depuis longtemps. Le rat Rémi est vraiment attachant, mais pas seulement !

Allez-y ! Avec les enfants à partir de 6 ans (qu'ils disent mais il faut que l'enfant tienne assis 1h50 aussi!)