Cette année je ne ferai probablement pas de visite mais le programme de Suresnes donne bien envie. Comme l'an passé l'Ecole de plein air sera ouverte aux visites (je vous rappelle que j'avais adoré l'an passé !), ainsi que la forteresse du Mont-Valérien,
haut-lieu d'histoire et pas seulement enceinte militaire. Les visiteurs pourront circuler dedans, découvrir le colombier national (pigeons voyageurs), la chapelle des fusillés, et la clairière où ils ont péri, le musée des transmissions, des véhicules du 19è siècle, etc. Cerise sur le gâteau, ils pourront aussi appercevoir mon petit mari qui est ce jour pour cause de garde ;-) En photo le bâtiment dit "de 1812".

La vigne de Suresnes sera ouverte également, avec visite de cave et dégustation !
Et le lycée Paul Langevin (photo) pourra également être découvert, sous la direction de ses élèves.
Suresnes a connu un essort incroyable au début du 20è siècle, comme beaucoup d'autres villes de banlieue parisienne. Mais la commune a bénéficié de la patte de Henri Sellier (photo), maire de Suresnes en 1919 à 1941. Une exposition lui est d'ailleurs consacrée au musée de la ville
depuis cette semaine jusqu'en mars prochain.
Lorsqu'il a été élu, la population de Suresnes venait de croître de 10 000 âmes en 25 ans. Principalement des ouvriers venus travailler dans les industries locales, ils vivaient dans des taudis. Henri Sellier devait résoudre ce problème de logement, comme d'autres maires, mais il avait également à coeur d'apporter à tous des conditions de vie descentes, ce qui pour l'époque pouvait paraître superflu... C'est à lui que la banlieue parisienne doit 11 de ses cités-jardins, dont celle de Suresnes (photo), une des plus abouties. Il a aussi fait installer l'école de plein-air, un bureau municipal de l'hygiène, un service social à l'enfance et des groupes scolaires (de la maternelle à l'enseignement supérieur) afin que l'instruction publique se généralise.
Il est certain que sans Henri Sellier, la ville aurait un autre visage.
Les images qui illustrent ce billet ont été prises sur le site Topic Topos

Et le lycée Paul Langevin (photo) pourra également être découvert, sous la direction de ses élèves.
Suresnes a connu un essort incroyable au début du 20è siècle, comme beaucoup d'autres villes de banlieue parisienne. Mais la commune a bénéficié de la patte de Henri Sellier (photo), maire de Suresnes en 1919 à 1941. Une exposition lui est d'ailleurs consacrée au musée de la ville

Lorsqu'il a été élu, la population de Suresnes venait de croître de 10 000 âmes en 25 ans. Principalement des ouvriers venus travailler dans les industries locales, ils vivaient dans des taudis. Henri Sellier devait résoudre ce problème de logement, comme d'autres maires, mais il avait également à coeur d'apporter à tous des conditions de vie descentes, ce qui pour l'époque pouvait paraître superflu... C'est à lui que la banlieue parisienne doit 11 de ses cités-jardins, dont celle de Suresnes (photo), une des plus abouties. Il a aussi fait installer l'école de plein-air, un bureau municipal de l'hygiène, un service social à l'enfance et des groupes scolaires (de la maternelle à l'enseignement supérieur) afin que l'instruction publique se généralise.

Les images qui illustrent ce billet ont été prises sur le site Topic Topos
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